La reprise de vie pour glands
La reprise de vie pour gland bat son plein, et moi ça me fait bien chier. Explications.
Assassin’s Creed, Ubisoft m’a tuer
Il est assez rare de constater une liberté créatrice quasi totale pour un jeu vidéo de l’envergure d’Assassin’s Creed. Pourtant les cerveaux d’Ubisoft Montréal ont tranquillement construit leur projet de A à Z avec la plus grosse ambition jamais affichée par un studio Ubisoft à ce jour. En voilà une bonne idée.
Naruto : Rise of a Ninja, la multiplication des pains sur 360
Il ne fait aucun doute aujourd’hui que Naruto est bel et bien le Dragon Ball d’autrefois. La série animée, comme le manga, rencontre un succès phénoménal, notamment en France. Pas étonnant de le voir donc ainsi adapté en dizaines de jeux. La 360 n’y a pas coupé, grâce à Ubisoft et son Naruto : Rise of a Ninja.
Call of Duty 4 : Modern Warfare, le test non scripté
Exit la seconde guerre mondiale, c’est désormais sur un champ de bataille contemporain qu’Infinity Ward nous appelle à notre devoir. Entre l’ex-URSS et le Moyen Orient, l’équilibre mondiale repose une fois de plus sur votre habileté à essuyer les balles.
Virtua Fighter 5, le test qui cogne !
Exclusif à la Playstation 3 pendant quelques mois, le maitre ès jeu de combat débarque enfin sur Xbox 360 dans une version alégée de son aliasing pour se lester d’un mode en ligne. Faites place, le Roi Virtua Fighter est dans la place.
Experience 112, le voyeurisme à son paroxysme
Après nous avoir torturé l’esprit avec In Memoriam, les français de Lexis Numérique nous reviennent avec un tout nouveau titre faisant appel à nos fantasmes de voyeurisme.
Sega Rally, roulez vieillesse jeunesse
Sega Rally, voilà deux mots qui sont capables de me faire sortir des larmichettes, me remémorant la borne d’arcade ayant usé tout un tas de mes pièces de 10 balles, pièces réservées à l’époque à « un truc qui te fera plaisir, un livre par exemple » ou encore à « pour toi manger ce midi »…
Gears of War, tronçonne moi encore la gueule s’il te plaît
Rares sont les titres dont on est certain du succès alors qu’ils ne sont même pas encore dans les bacs, Gears of War en faisait parti. Et ce en débarquant sur une nouvelle machine (back in novembre 2006, date de sortie du jeu) et en exploitant aucune licence existante qui plus est. Respect.