Coincé dans votre petit T2, avec votre femme et un supposé flic plutôt violent, revivez inlassablement les mêmes 12 minutes dans ce huis clos haletant de Luis Antonio.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, très court lorsqu’il faut appréhender un gameplay curieusement calibré Point & Click, particulièrement lourd lorsqu’il faut interagir sur les personnages et l’environnement avec hâte. Ce n’est d’ailleurs pas beaucoup plus digeste lorsqu’il faut naviguer entre les lignes de dialogues et leur évidente redondance. Dommage que le jeu sur console ne s’adapte pas au pad mais se contente d’émuler la souris.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, pour découvrir l’histoire, les secrets et la personnalités de nos trois protagonistes, doublés par un casting de haute volée : James McAvoy (le psychopathe de Split) qui incarne l’époux et le personnage jouable. Daisy Ridley (Rey dans la dernière trilogie Star Wars), qui incarne l’épouse. Willem Dafoe (le sergent Grodin dans Platoon, entre autres…), qui incarne le policier.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, pour s’habituer à la perspective toute en plongée de l’écran de jeu, portant toute la direction artistique sur ses épaules. Une vue qui n’a d’ailleurs pas l’esthétisme pour seul objectif, au demeurant très réussi, mais sert également parfois le gameplay, utilisant la perspective pour cacher des éléments du décor ; même si la répétitivité de l’action et la lourdeur du gameplay peuvent finir par provoquer la crispation chez le joueur impatient.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, mais n’empêche en rien d’apprécier les multiples rebondissements qui rythment l’aventure. Car l’histoire est savamment écrite par Luis Antonio. Et malgré quelques rares errances très secondaires dans certains dialogues, ainsi qu’un twist final qu’on voit trop vite arriver, cette histoire fait mouche et nous captive tout le long de la courte mais intense durée du vie du titre.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, mais ça suffit pour se rendre compte du génie créatif dont fait parfois, voire souvent preuve le jeu, pour nous happer dans son univers et le vortex de son scénario torturé. Un tour de force d’autant plus réussi qu’il s’inscrit dans un environnement réduit à trois pièces et demie, une demie douzaine d’objets à manipuler et une simple poignée de minutes pour s’activer.
Bis Repetita
En réalité, et contrairement à ce que le titre du jeu laisse penser, vous allez plutôt revivre une boucle de dix minutes et non douze, dix étant la limite maximale avant que l’horloge ne reprenne de zéro (il y a une subtilité pour les deux minutes restantes, mais chut). Ces dix minutes, c’est le temps qui vous est imparti pour prendre des décisions afin de tenter de changer votre destin et comprendre les mystères qui entourent nos trois protagonistes. Et dix minutes, c’est court, mais c’est plus qu’il ne m’en faut pour vous exhorter à tester le jeu. Car il fait partie de ces titres qui font date dans la mémoire d’un joueur. Ce n’est pas une vitrine graphique, un exemple de gameplay maîtrisé, ni même le jeu qui vous accompagnera de longues heures durant, mais il fera date car il est génial, au sens premier du terme. Et c’est malheureusement bien trop rare dans cette industrie…
1 Commentaire
Et dix minutes, c’est court…