Test Express, Teslagrad 2

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En promo à -90% soit 1,99€ c’était le moment où jamais de proposer le test de ce petit jeu de plateforme

Vite joué, bien joué

Ayant beaucoup apprécié le 1er opus, j’avais placé depuis un (long) moment Teslagrad 2 dans ma liste de souhaits. Il s’agit d’un jeu de plateforme action, proche d’un métroidvania mais linéaire (concept assez plaisant tant les aller-retours peuvent me saouler dans ce genre de jeu). Le jeu se passe dans un pays du type Europe de l’Est mixant des ambiances scandinaves avec une histoire assez obscure où l’on essaiera de retourner chez nous.

Oui j’ai pas pris la peine de faire des captures pendant que je jouais

On retrouve une ambiance très proche du premier où les arrières plans et le style peint à la main étaient une franche réussite. Niveau gameplay aussi, ça reste similaire à l’original avec un jeu basé sur l’électricité et le magnétisme. Mais premier point noir, alors que je trouvais le gameplay du premier carré, ici tout m’a semblé assez approximatif dès le début. Par exemple les effets de répulsion magnétique que l’on doit utiliser en sautant pour arriver au bon endroit ne marchant que très aléatoirement. Ajouter à cela des pouvoirs de glisse et une vitesse assez élevée et, ce qui devrait être absolument carré pour être agréable, devient assez anarchique et parfois rageant.

Le point d’orgue est le combat final. Tous les boss sont d’ailleurs assez rapides puisqu’il s’agit bien souvent de répéter une attaque 3 à 4 fois pour en venir à bout. Mais le dernier est un combat aérien et l’attaque se fait avec une visée sur le stick gauche ajoutant à cet approximation de gameplay pour réussir à toucher l’ennemi tout en évitant les attaques.

Du coup je mets les captures automatiques des trophées.

En conclusion

Sans être mauvais, Teslagrad 2 m’a déçu un peu tout du long de l’aventure. Trop court, trop simple, trop approximatif sur son gameplay, je n’ai pas retrouvé le plaisir du premier opus dans une aventure pourtant très proche. Bon à ce prix, je ne vais pas non plus râler.

ça c’est même une capture du 1
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