Test express, Endling : extinction is forever

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Encore un petit jeu ps+ extra pour contrer le vide intersidéral des sorties jeux.

Sorti à peu près au même moment que Stray, qu’on a beaucoup aimé mais dont on n’a pas eu le courage de rédiger un test, Endling vous met, non pas dans la peau d’un chat, mais d’un renard. Allez savoir pourquoi il a fait beaucoup moins le buzz j’en sais rien.

Vite joué, bien joué !

En tout cas, avec un style graphique plaisant mais pas trop marqué et un gameplay ultra simple, Endling ne fait pas parti de ces jeux qu’on adore ou qu’on déteste. Non là je pense qu’on peut tous trouver un consensus pour dire qu’il est super simple d’accès. Sauf si vous n’avez pas du tout envie d’incarner une mère renarde qui doit sauver ses petits.

Passons maintenant au cœur du jeu, la narration et l’aventure proposée. Le monde est au bord du chaos (ou il a déjà eu lieu) et c’est dans la peau d’une renarde que les développeurs nous proposent d’explorer ce monde. Après une ouverture des plus chocs en plein incendie où l’on manque d’y passer, on met au monde une petite portée de 4 renardeaux que l’on va même pouvoir personnaliser pour s’y attacher plus rapidement. Sauf… sauf qu’un énorme vilain humain vient capturer l’un d’eux, probablement pour sa fourrure ou au minimum pour se faire de l’argent en le revendant. C’est sur ce pitch assez sombre que notre aventure commence.
Le jeu se passe en défilement scripté droite gauche avec des intersections à 90 degrés. Une touche d’interaction pour passer sous un grillage ou sauter un rebord et voilà. Le reste c’est de l’exploration et une course contre la montre pour sauver son petit. En effet tous les 3 soirs environ on pourra sentir sa trace et donc la suivre afin de reconstituer le fil des événements. Une histoire qui, comme l’intro, ne laissera que peu de place à la joie et la bonne humeur. En tout cas, sans faire de merveille non plus, elle est étonnante et attendrissante tout en se montrant dure. Un choix qui surprend (à plusieurs reprises) et ça fait du bien.

Endling c’est pas vraiment un conte de fées

En conclusion

Dans Endling, l’extinction est plutôt inéluctable que forever mais ce petit jeu, dispo avec l’abonnement ps+ extra, étonne et nous touche à plusieurs reprises. Comme quoi, incarner des animaux c’est aussi sympa et ça ne limite pas le jeu pour autant. Une bonne petite trouvaille assez rapide pour que tout le monde puisse y jeter un œil.

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