Microsoft vient d’annoncer la fin de la production de la Xbox 360. Plus aucune console neuve ne sortira désormais de leurs usines. C’est donc l’occasion idéale pour revenir sur les grandes dates qui ont fait la légende de cette console chère à mon petit cœur de gamer.
12 mai 2005 – Première sortie
En rumeur depuis quelques temps sous le nom de code Xenon, la Xbox 360 s’est dévoilée aux yeux du public à l’occasion d’un show sur MTV présenté par Elijah Wood, le 12 mai 2005. Quelques jours plus tard, la console refaisait surface durant la conférence E3 de Microsoft, avec ses titres du line-up, mais aussi les premières images de Gears of War.
22 novembre 2005 – Le lancement
Le lancement de la Xbox 360 se fera aux Etats-Unis le 22 novembre 2005. Pour nous autres européens, il faudra toutefois attendre le 2 décembre. De notre côté, K.mi, Tsokoa et moi, nous étions encore sur Xbox-Attitude. C’était nos heures de gloire, du coup on avait des consoles avant tout le monde (Enfin, surtout K.mi. Moi je l’aurai quelques jours après et Tsokoa n’est venu que tardivement à la 360). A l’époque, on avait même une machine debug, pour jouer aux previews. La particularité de ce lancement (outre les ruptures de stock classiques dans l’industrie), c’est que la console était vendue sous deux formes : La Xbox 360 Core, sans disque dur et avec une manette filaire, à 299 euros, et la Xbox 360 Premium, avec une Disque dur de 20Go et une manette wireless, à 399 euros.
Décembre 2005 – Line-up en demi-teinte
Au lancement, la Xbox 360 propose une vingtaine de titres, parmi lesquels Call of Duty 2, Kameo ou Perfect Dark Zero. Ces jeux, et au travers d’eux la console, seront montrés du doigt pour le rendu « plastique » des textures. On peut donc considérer le line-up comme relativement raté, compte tenu de la qualité des titres proposés (très relativement, quand on voit celui des Xbox One et PS4). Les seuls à s’en sortir à bon compte étant Call of Duty 2 et Condemned : Criminal Origins. C’est notamment ce dernier qui sera mon premier gros souvenir sur la console. Découvert dans sa version preview quelques semaines auparavant, dans les locaux parisiens de SEGA, Condemned reste pour moi à ce jour le jeu qui m’aura le plus fait flipper. Au-delà de son aspect horrifique et angoissant, la véritable réussite du titre à mon sens, c’est sa propension à te faire emmagasiner du stress avant de te permettre de tout relâcher d’un coup, dans la gueule de tes ennemis. Cela est surtout dû à la brutalité de son gameplay au corps à corps, principale erreur de sa suite d’ailleurs, où les armes à feu seront légion.
Décembre 2005 – Gamerscore et Succès
Au lancement de la 360, la communauté découvre également quelque chose qui paraitra d’abord anodin aux yeux de tous, et qui finalement révolutionnera l’industrie : Le gamerscore et les succès ! Dès lors, bon nombre de joueurs vont courir après cette reconnaissance virtuelle, n’hésitant pas à jouer à des jeux particulièrement mauvais, mais réputés pour offrir leurs 1.000 points de succès aisément. Ce sera le cas plus particulièrement d’Avatar, connu de tous pour débloquer les 1.000 points en trois minutes et un simple combo de 50 coups.
20 février 2006 – La claque Fight Night 3
Si le lancement était un peu en demi-teinte, avec des jeux à peine plus beaux que sur la génération précédente, la véritable claque Next Gen surviendra avec Fight Night 3, le jeu de boxe d’Electronic Arts. A l’époque, tout le monde criait au pipeau en découvrant les images du jeu, d’un photoréalisme jusqu’alors jamais vu. Sa découverte manette en main, se révèlera comme un upercut dans les gencives. Le jeu était magnifique. Bluffant même. A ce moment précis, on entrait de plein pieds dans la septième génération.
Mars 2006 – Mon premier Red Ring of Death
Durant les quelques années passées à jouer sur 360, j’aurai connu deux retours SAV (ce qui est peu, comparé à certains) : Tout deux auront été causé par le fameux RRoD, ou Red Ring of Death, qui s’affichait sur la façade de la console. Si je ne me souviens plus trop du second, mon premier plantage est par contre resté dans ma mémoire, puisque je venais tout juste de recevoir Oblivion. J’ai donc dû attendre une poignée de jours/semaines, avant de pouvoir enfin me lancer dans l’aventure, pendant que tout le monde s’excitait sur les forums quant à la qualité du titre. Dans l’histoire, j’aurai perdu ma sauvegarde de Condemned alors que je n’avais pas terminé le jeu (j’avais du mal à finir mes jeux à cette époque), m’obligeant à le refaire bien plus tard, démotivé que j’étais par cette conséquence malheureuse. Cela m’aura donné une leçon : Ne jamais renvoyer ton disque dur avec ta console au SAV ! N’empêche, cette histoire de Red Ring of Death aura malgré tout contribué au succès de la machine. Comme quoi Seguela avait raison : Il n’y a pas de mauvaise publicité !
20 mars 2006 – La sortie de prison d’Oblivion
La deuxième claque de cette génération, c’est The Elder Scrolls : Oblivion qui allait nous la mettre. Là encore, ça reste l’un de mes souvenirs de joueur les plus marquants. Tout commence par une introduction en prison, puis par une fuite dans les souterrains du château, à combattre des rats comme s’il s’agissait de monstres d’une puissance incommensurable. C’était déjà plutôt joli, mais pas forcément impressionnant pour autant. Puis, en sortant des souterrains, tu déboulais dans une vaste clairière verdoyante et, derrière toi, le château duquel tu t’étais enfui, baigné dans une lumière rendue aveuglante par ton périple dans les ténèbres. Je crois qu’à ce moment-là, je n’avais jamais rien vu d’aussi beau. Je suis resté pantois devant pareil spectacle, avant de me faire occire par une espèce de crabe humanoïde. Par la suite, j’abandonnerai le jeu après être devenu vampire. Cette transformation malgré moi reste l’une de mes expériences vidéoludiques les plus frustrantes. Enfin, pour la petite histoire, Oblivion restera également dans les mémoires grâce à son DLC payant (l’un des premiers) représentant une simple armure pour ton cheval. Le tollé sera retentissant, mais ça n’aura pas sonné le glas du DLC pour autant, bien au contraire.
Novembre 2006 / Février 2008 – La blague HD-DVD
Sur cette génération, la guerre des consoles entre la Xbox 360 et la PS3, opposera également deux formats numériques censés supplanter le DVD : Le HD-DVD de Toshiba et le BluRay de Sony. Visionnaire comme jamais, Microsoft pariera sur le HD-DVD, en proposant un disque externe à brancher en USB. Avec un Microsoft pas forcément très engagé dans la cause et un format rendu obsolète car non utilisé par les jeux 360 (si ce n’est pour les jeux sur plusieurs DVD), le HD-DVD finira tout logiquement par mourir, en février 2008. Sony aura réussi à imposer son BluRay, équipant d’ailleurs aujourd’hui la Xbox One.
17 novembre 2006 – Gears of War, l’alternative à Halo
Dévoilé six mois avant la sortie de la console, durant la conférence E3 de 2005, le titre d’Epic aura mis un an et demi à arriver dans nos machines. Et là, il va mettre tout le monde d’accord et redessiner les contours du TPS, en démocratisant le cover shooting (dont il n’est pourtant pas l’inventeur). Le jeu a pris tellement d’ampleur dans l’industrie et le catalogue de Microsoft, qu’il est sans doute la seule exclusivité du constructeur à pouvoir rivaliser avec Halo. Pour la petite histoire, le mode multi du jeu aura été développé à la dernière minute, sans trop y croire (par ceux qui ont pondu les Unreal Tournament ceci dit). Finalement, il s’imposera comme l’une des valeurs sûres du jeu compétitif sur Xbox Live, à la surprise même de son développeur. D’un point de vue plus personnel, la série sera à l’origine de plusieurs de mes plus chouettes souvenirs, comme l’épisode de la grenade adhésive, en coop’ avec K.mi (quand je dis que les succès rendent fous).
https://youtube.com/watch?v=Z-AFlHsXc3w
21 décembre 2006 – Lost Planet : Mon premier squat sur le Live
Si j’ai un peu joué sur les multi de Perfect Dark Zero et Gears of War, mon premier vrai squat en ligne sur la 360, ce sera avec Lost Planet. Connu essentiellement pour son mode solo et ses graphismes incroyables, indissociable ou presque de Dead Rising avec qui il partage le titre de « premiers million sellers » de la console, moi c’est essentiellement son multijoueur dont je me souviendrais (je ne suis même pas sûr d’avoir fini le mode solo). J’ai passé des dizaines et des dizaines d’heures à me balancer au bout de mon grappin ou grimper dans les méchas pour dézinguer du japonais (les plus représentés en ligne sur ce jeu). Mon seul véritable regret (outre ses suites déplorables), c’est que les Akrids n’aient pas représenté une troisième faction dirigée par l’I.A., pour pimenter les joutes.
2 Octobre 2007 – PGR 4 creuse la tombe de Xbox-Attitude
Lorsque Project Gotham Racing 4 sort, Guime doit en faire le test pour Xbox-Attitude. Seulement, sans prévenir personne et alors qu’il n’a plus d’activité sur le site, Franck le garde pour lui. C’est la goutte d’eau d’un vase qui était déjà bien rempli, et avec notre franc parler habituel, on le lui a reproché. Résultat, le site explose en vol et on se barre fonder Polygamer, K.mi, Tsokoa, Guime et moi. Bien sûr, Franck ne nous permettra pas de faire la promotion du site sur le forum, et on passera de 10.000 visiteurs par jour à 300. On ne retrouvera jamais plus notre gloire d’antan, et l’ironie de l’histoire c’est que Guime récupérera PGR (ainsi que l’Orange Box) avant de disparaître de la surface du globe, sans jamais en publier la critique.
5 novembre 2007 – Modern Warfare, le FPS entre dans une autre ère
Si Call of Duty 2 avait déjà proposé ses moments de gloire sur 360, c’est surtout avec le quatrième épisode, Modern Warfare, que le FPS va être irrémédiablement transformé. Car aujourd’hui, on a plutôt tendance à associer cette licence aux Kevin et autres noobs du jeu vidéo. Pourtant à cette époque, il mettait tout le monde d’accord avec son gameplay nerveux, sa réalisation hollywoodienne et son multi addictif. Incontournable, tout comme sa suite et l’épisode Black Ops. Ensuite, Infinity Ward a explosé en vol sous la pression d’Activision, et ses membres fondateurs sont partis chez EA, pour nous pondre l’excellent TitanFall. Bien leur a pris !
23 novembre 2007 – Mass Effect, la trilogie d’anthologie
Mon amour pour le Space Opera ne date pas d’hier. Déjà dans les années 90, je vénérais des licences comme Privateer, X-Wing ou Wing Commander ; voire même Space Quest. Mais mes rêves les plus fous en matière de Space Opera, vont se concrétiser sur 360 grâce à Bioware et leur trilogie Mass Effect. Après les coups de maître que furent les deux KotOR sur la génération précédente, le studio nord-américain récidivera, soulagé de la pression que représente la licence Star Wars, avec les aventures du Commandant Shepard et ses relations homosexuelles et/ou interraciales avec des extra-terrestres. Le premier épisode sera d’ailleurs édité par Microsoft, et restera donc une exclusivité de la console ; la série débutant donc par Mass Effect 2 sur Playstation 3 (les losers !).
29 avril 2008 – GTA IV, le retour de LA licence du jeu vidéo
Nombreux sont ceux qui adulent San Andreas pour son immense bac à sable, voire Vice City pour son côté « adaptation officieuse » de Scarface. Pour moi, le meilleur GTA à ce jour, c’est le IV. Car avec Niko Bellic, Rockstar aura réussi à forger un personnage particulièrement humain, avec ses doutes, ses convictions et son passé torturé, comme jamais il n’a réussi à le faire avec ses autres (anti)héros. L’histoire était fantastique, l’ambiance également, et qu’importe qu’il y ait moins d’activité que dans San Andreas, l’essentiel était pour moi ailleurs. La preuve, car GTA V beaucoup plus vaste et varié, ne lui arrivera jamais à la cheville. Je garde aussi du mode multi de ce jeu, quelques souvenirs impérissables dont certains sont même passés à la postérité, dans la cultissime bande-dessinée Polygamer.
6 août 2008 – Braid et le Xbox Live Arcade s’impose
Si on se souvient généralement des gros jeux AAA aux budgets colossaux, la Xbox 360 a su offrir ses heures de gloire aux jeux (pseudo) indés, via le Xbox Live Arcade. Le point d’orgue de cette réussite, restera sans doute le lancement de Braid, le titre mythique de Jonathan Blow. Mais d’autres lui emboîteront très vite le pas, comme l’incontournable Limbo, Trials HD (avant qu’Ubisoft n’essore la série), le Shadow Complex des créateurs de Gears of War (ressorti dernièrement sur One, et ces prochains jours sur PC et PS4), ou encore Mark of the Ninja, Dust : An Elysian Tail, Castle Crashers, Torchlight, Clash of Heroes, Shank, Super Meat Boy et bien d’autres. Aujourd’hui, la plupart des développeurs derrière ces titres, sont partis sur Playstation. Ils ont la mémoire bien courte, mais les poches bien pleines…
17 novembre 2008 – Left 4 Dead, l’avènement du coop
Le jeu en coopération a connu ses heures de gloire sur cette septième génération. Pour ma part, si ça a surtout commencé avec Gears of War, ce mode a littéralement explosé avec l’arrivée de Left 4 Dead. Là encore, les souvenirs fusent de toute part à la seule évocation de ce jeu. Bien souvent, ce sont des souvenirs de coups de pute d’ailleurs, comme la fois où arrivé à l’abri avant les autres, je suis ressorti pour relever tout le monde avant de me retrouver abandonné par ceux-là même que j’avais sauvé. Les souvenirs d’égoïsme aussi, quand on se gardait bien de dire aux autres qu’on avait choppé un médikit ou des pilules pour remonter la vie. Bref, tout ce qui me fait dire qu’à la rédac’ de Polygamer, on n’a pas tout à fait compris le sens du mot « coopération ». Dans le même genre, on retrouvera ensuite Left 4 Dead 2 bien entendu, les Halo (et sa mythique grenade dans l’ascenseur), mais aussi les deux Borderlands et leur univers complètement barré. Difficile de revenir au solo après ça…
1er juin 2009 – Project Natal, Molyneux et Milo à l’E3
Le plus gros foutage de gueule de Microsoft durant l’âge d’or de sa 360, ce fut en ce 1er juin 2009, lorsque durant leur conférence pré-E3, ils présentèrent Kinect (alors baptisé Project Natal). Déjà, confier une présentation à Peter Molyneux, c’est l’assurance que vous allez raconter n’importe quoi et que personne ne va vous croire. Et comme à son habitude, Molyneux a fait du Molyneux, en nous gratifiant d’un dialogue assez surréaliste avec Milo, un gamin virtuel censé réagir au monde réel grâce à Kinect. L’histoire nous prouvera par la suite qu’il s’est foutu de notre gueule, et après deux versions aussi merdiques les unes que les autres, Kinect disparaitra du paysage vidéoludique, bientôt remplacé par l’Holo-Lens qu’on espère plus abouti (j’ai quand même un gros doute).
18 mai 2010 – Red Dead Redemption, Rockstar à l’Ouest
Peut-être le meilleur jeu de l’histoire de cette industrie, Red Dead Redemption a enfin réussi à concrétiser les rêves des gamers, en les réconciliant avec le Western ; univers rarement à son avantage lorsqu’il est adapté en jeux. Personnellement, si j’ai été séduit par le gameplay et l’univers du titre, j’ai quand même énormément de réserve sur son scénario, et notamment la partie au Mexique, où tour à tour on tuait du rebelle pour le compte du gouvernement, et on tuait du soldat gouvernemental pour le compte des rebelles. Il n’en reste pas moins un jeu formidable, dont j’attends la suite avec impatience. En tout cas, l’engouement du public pour cette licence est telle, qu’encore aujourd’hui il caracole en tête de la wish-list des joueurs Xbox One, qui militent pour son passage en rétro-compatible.
24 avril 2012 – The Walking Dead, les années TellTale
Jusqu’alors connus pour le come-back de Sam & Max ou leur adaptation moisie de Retour vers le Futur, TellTale Games va prendre une toute autre dimension en adaptant une BD qui commence à faire parler d’elle : The Walking Dead. Le génie de cette adaptation sera de proposer une histoire parallèle à la BD, dans un format épisodique très proche des séries US qui cartonnait alors, avec un principe de causes et conséquences certes plus enfumage que réel, mais suffisamment bien foutu pour qu’on y adhère. Si par la suite, le studio va user et abuser de son unique recette avec bon nombre de licences (une saison 2, The Wolf Among Us, Game of Thrones, Tales from Borderlands), cette première saison aux côtés de Lee et Clementine sera définitivement une réussite, offrant quelques-uns des passages les plus émouvants de l’histoire de ce média.
Et les autres…
Si les jeux et événements cites ci-haut restent selon moins les principaux faits marquants de la console, je me vois tout de même dans l’obligation de citer tous ces jeux qui, chacun à leur manière, auront également fait ses beaux jours :
Alan Wake, XCom: Enemy Within, Spec Ops: The Line, Battlefield Bad Company (pour son solo unique en son genre) et Bad Company 2 (pour son excellent multi, le meilleur pour un Battlefield selon moi), Ghost Recon Advanced Warfighter (le 1 et le 2), Rainbow Six Vegas (là aussi, les deux), Fable II, Mirror’s Edge, et bien d’autres encore que je n’ai pas cité.
Pour tout ça : Merci !
4 Commentaires
Retour sur la légende de la 360
Super article, que de souvenir. Pour ma part je n’ai jamais quitté cette console, j’ai encore une 80aine de jeux à finir dessus avant de me donner l’autorisation morale de franchir le pas sur la nouvelle génération.
PS: BluRay, pas BlueRay 🙂
Retour sur la légende de la 360
D’une certaine manière, sans la Xbox 360 y aurait pas eu Polygamer. C’est la console sur laquelle j’ai passé le plus de temps, j’ai jamais joué à autant de jeux sur une bécane, elle m’aura fait vivre mon premier E3 à L.A. aussi. Gros souvenirs de parties en ligne, Gears en tête comme tu le dis (la fameuse partie où je fini seul contre 4 et où je les fume tous à la tronçonneuse reste mon plus grand fait d’arme en ligne :D), beaucoup de jeux mémorables huppés ou non (Alpha Protocol, Deadly Premonition etc)… Même le ban qu’on a vécu ou les histoires de blacklistage des éditeurs pour diverses news restent des grands moments à mes yeux 😀 Et les parties de Fifa en ligne aussi… Bon t’as gagné, j’ai envie d’y aller de mon hommage aussi…
Retour sur la légende de la 360
Beaucoup de souvenirs aussi sur la 360, et que dire de l’achat d’un matériel signé Microsoft -le diable pour moi à l’époque-, et de la joie qui en a suivi.
Plein de bons jeux, un Rainbow Six Vegas intégralement en coop avec Toma021 avant son bannissement, et des daubes comme Avatar the burning earth, mais tu as rappelé pourquoi 🙂
Marrant, tu n’as pas évoqué les différentes versions de la console, YUV, puis HDMI, puis slim…
Retour sur la légende de la 360
Je crois que mon 1er souvenir marquant sur cette console, c’est quand j’ai lancé Dead or Alive (4?) qui était mon 1er jeu acheté avec la console! Et aussi, j’en avais parlé, mais ce qui m’avait beaucoup marqué, c’est con, mais c’était de passer d’une image en 4/3 au 16/9, le tout sur le plasma de l’époque qui m’avait couté un bras, acheté « presque » que pour l’arrivée de la 360 !