Nos sales pattes sur la bêta de Gears of War 3

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En disette de jeux multijoueurs online d’envergure pas trop anciens, la bêta de Gears of War 3 tombe à point entre mes sales pattes.

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Une image vaut mieux que 1000 mots, profitez donc de ce parfait résumé de la bêta.
Nous sommes vendredi, il est 15 heures, l’embargo sur nos impressions est donc terminé, je vais pouvoir tout vous dire sur cette bêta multijoueurs. J’y ai joué quelques heures et lorsque vous lirez ces lignes j’y aurais probablement joué encore plus (effectivement j’ai anti-daté mon article parce que j’avais autre chose à foutre vendredi à 15 heures), mais il faut avouer qu’à peine une heure suffit pour en faire le tour. En tout et pour tout quatre maps (seulement deux le premier jour), petites pour grosse action intense á la cocotte minute, trois modes de jeu dont un seul où il y a des gens (jusqu’ici seuls les journalistes internationaux étaient de la partie) : le Team DeathMatch, mais à la Gears genre sport nationnal en deux manches gagnantes (les autres modes sont du simili capture the flag et du King of the Hill). Aucun problème de lag ni de déconnexion, lobby clair, peut-être une fois de temps en temps, rarement, une impression de décalage entre les coups mais difficile de savoir s’il s’agit d’une histoire de connexion ou autre… Je n’ai pas forcément l’envie immense de vous décrire toute la subtilité des maps présentes ou le détail des armes de cette bêta. De toutes façons tous les autres sites vont en faire des tartines et vous les lisez avant de venir ici, je le sais chiens d’infidèles !

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La baïonnette est bien moins pratique à utiliser que la tronçonneuse, pour la simple et bonne raison qu’il faut prendre de l’élan. En multi ça grappille des secondes de réactions cruciales.
La progression est calquée sur les monstres Halo et Call of Duty avec innombrables médailles qui s’affichent selon nos faits d’armes au fil des parties et qui vont débloquer des points pour level-up ou encore divers artifices (skins pour armes, nouveaux personnages, finishers etc), du classique et de l’efficace. A 5 contre 5 dans une surface de la taille d’un garage à vélo, pas le temps de glander, l’action est burnée et ne faiblit jamais. C’est principalement ce qui m’a fait putain de plaisir à retrouver Gears of War, retrouver du décérébré bien violent, bien gore, bien bourrin. Tronçonner des corps, latter la gueule au sol, arracher des bras, découper ou exploser des têtes, incendier, pulvériser, poignarder, coller des grenades à la nuque et donner un coup de pied dans le cul… Que dire de plus sur quatre pauvres maps minuscules ? A part pour broder sur douze pages interminables pour en revenir à une seule chose : Gears of War est une saga hyper défoulante et jouissive, le 3 ça sera pareil, quatre minuscules maps en Team Deathmatch suffisent à passer des heures dessus en rigolant comme un sadique. Ca n’avance à rien, ça fait juste plaisir et ça défoule. Petite bêta mais grosse envie de jouer à la version finale, ce sera comme revoir une bonne copine, toujours plus belle et qui va droit au but. Entre elle et moi c’est physique.
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