Comme chaque mois, nous vous proposons de retrouver un article rapide où chaque membre de la rédac liste les jeux qui l’ont occupé ce mois-ci.
En Juin tout est possible, la canicule frappe la Bretagne, La PlayStation accueille un jeu Sony, Microsoft se croit encore sur le marché et annonce des futurs consoles, tout le monde applaudit Nintendo qui sort une console à la ramasse pour nous vendre des remakes de Mario 38 à 90€… Manquerait plus que Fylo ou Tso ait fini un jeu.
Toma021 :
En Juin je suis en mode post coup de coeur de Blue Prince. Du coup rien ne me plait et je traine mon spleen sur tout et n’importe quoi. Je suis retourné dans les bois de The Forest, dans ceux de V Rising, je me fais humilier sur Rainbow Siege X où mon niveau platine est devenu proche du cuivre, j’ai laissé passer la sortie de The Alters qui est le jeu que j’attends le plus (ça doit être un effet pervers de la dépression), j’ai lancé Firebreak avant de vite le supprimer définitivement, j’ai acheté Jusant que je peine à finir, j’ai fait un tour à Los Santos pour acheter les trois dernières mises à jour de GTA Online et j’ai même allumé ma Xbox (One) pour jouer à 33 immortals. C’est d’ailleurs ma meilleure idée du mois puisque le jeu est très satisfaisant pour un early access et j’ai découvert que le génial Nine Sols est également dans le Game Pass. Et, cerise sur le gâteau, Sony a décidé de sortir un jeu et je vais donc finir le mois à marcher dans Death Stranding 2 : On the beach.
Fylo :
En juin j’ai 50 ans. Alors vos petits problèmes de guerre, de montée du fascisme et de faits divers à la con qui défraient les chroniqueurs de CNews, osef ! Du coup, j’ai cherché à profiter une dernière fois de ma jeunesse en m’abrutissant avec des jeux vidéo. Sauf qu’en juin, j’ai beaucoup, beaucoup trop de trucs à fêter (anniversaires, mariages, départs en retraite, etc.), du coup je n’ai pas réussi à totalement m’abrutir. Pourtant, j’avais mis toutes les chances de mon côté en me lançant dans le très cérébral Space Marine 2, avec Nachcar. Mais on n’a pas trouvé le temps de le terminer… Bref, comme d’hab, j’ai fini par me rabattre sur mes fidèles gacha ; Honkai Star Rail, un peu d’Etheria Restart qui vient tout juste de sortir, et surtout Zenless Zone Zero qui a fêté son 1er anniversaire le 5 juin dernier. Ah, et avant de partir en vacances, j’ai trouvé le temps de lancer The Alters… juste histoire de faire rager Toma.
Smy :
Entre les festivals du mois de juin et mes balades un peu partout pour flasher des Invaders, j’ai fait une pause de console pendant une dizaine de jours qui m’a fait décrocher de Blue Prince. Plutôt que d’y replonger tout de suite, j’en ai profité pour reprendre et terminer la première «cassette» de Lost Records Bloom & Rage. C’est un Dontnod toujours très narratif et très sympa, mais en dessous de Life is Strange. Juin c’est aussi la sortie de la Switch 2 et je suis le seul de la Rédac’ à encore aimer cette console, même si c’est principalement pour jouer à des jeux indés. Je n’avais pas joué à Breath of the Wild à l’époque, je ne me voyais pas passer 100 heures sur un Open World sur ma petite Lite. Je rattrape donc mon retard avec le remaster (ma passion pour les remakes et remasters me vaut une vanne sur deux au sein de la Rédac), l’immense écran de la Switch 2 est un bonheur.
Nachcar :
Un mois de juin tellement chargé que je n’ai pas tellement eu le temps de jouer. Enfin pas autant que j’aurais aimé… Comme dit plus haut, avec le copain Fylo nous nous sommes lancé dans l’éradication de Tyranides. Vraiment très grisant et bien réalisé ce Space Marines 2 ! Quelques soirées sur Rainbow Six Siege dans sa nouvelle version (pas vraiment nouvelle) ainsi que quelques chasses sur la nouvelle carte (pas vraiment nouvelle) de Hunt: Showdown ont complété ce mois pas vraiment nouveau.
Tsokoa
En Juin, avec le buzz autour de Death Stranding 2, j’ai décidé de me mettre… au 1. N’ayant encore jamais joué au jeu, je voulais quand même voir à quoi ressemblait vraiment le titre énigmatique de Kojima et c’était un peu l’occasion de la dernière chance de me motiver à me lancer dans cette étrange randonnée postale. Après 3-4 heures de cinématiques et 2-3 de jeu, je ne sais toujours pas totalement où j’ai mis les pieds et doute déjà d’avoir l’abnégation aller au bout du chemin.