La sortie de Dredge Complete edition a été l’occasion de mettre la main sur l’ensemble des dlc disponibles. The iron rig et avant ça The Pale reach.
The pale reach
Cette première extension (je ne vais pas compter Blakstone Key tant j’ai toujours pas compris son intérêt) nous propose d’agrandir la zone de pêche de Dredge vers le sud. Comme un Antarctique qui viendrait ajouter une variante glacée à votre expérience.
Et c’est même là tout l’intérêt de ce contenu. Après avoir rencontré la marchande ambulante vers les premières glaces, vous devrez partir à la recherche de certaines pièces pour transformer votre petit chalutier en brise-glace capable de passer n’importe où.
Alors petit spoil, l’entrée de l’exploration se trouve JUSTE à côté de la marchande. Car si vous avez de la me… dans les yeux comme moi vous risquez de faire 5 fois le tour du continent sans jamais réussir à trouver l’entrée. Ce qui peut être frustrant. Mais si vous êtes un poil plus efficace, vous découvrirez vite comment progresser dans ce petit labyrinthe.
En plus de nouvelles espèces qui viendront enrichir votre encyclopédie, cette partie du jeu vous propose de nouvelles technologies, deq pains de glace pour tenir vos poissons frais plus longtemps, un nouvel homme encapuchonné, une petite histoire parallèle avec ses mystères à percer et quelques nouvelles missions.
Le tout n’est pas bien consistant pour autant puisqu’il faut compter une à deux heures pour finir l’intrigue et sûrement le double pour remplir toute l’encyclopédie. En vrai c’est parfait et et ça se parcourt avec plaisir. Alors que vouloir en faire trop aurait sûrement été barbant.
The iron rig
La seconde extension officielle du jeu, apporte elle aussi une nouvelle histoire de manière un peu plus copieuse. Le principe même de devoir construire ce nouveau lieu, une plateforme en pleine mer, rend la chose déjà plus longue. Cette fois il vous faudra redécouvrir les régions existantes du jeu afin de trouver le matériel nécessaire pour aider la société Havrefer à bâtir sa station.
Au fur et à mesure, de nouveaux bâtiments vous donneront accès à du nouveau matériel. Tout en découvrant encore une nouvelle histoire, vous aurez accès à des nouvelles technologies et surtout une nouvelle coque de bateau qui permettra entre autre d’avoir plus d’espace de stockage. Heureusement car notre réserve commençait à se faire petite avec le contenu additionnel.
Sans être passionnant (j’ai finalement préféré l’histoire de The Pale Reach), The iron rig permet de prolonger le plaisir. On reste curieux de trouver les 50 nouvelles espèces de poissons qui apparaissent dans les anciennes zones de pêche touchées par les perturbations liées aux travaux de cette drôle de société. On apprécie aussi les améliorations du bateau qui le rendent plus rapide et plus maniable. Ce qui permet de traverser la carte bien plus aisément.
Il faut compter 4-5 heures pour venir à bout de ce contenu. Si j’ai trouvé très agréable de revenir sur le jeu, sa drôle d’ambiance mérite d’être découverte en ligne droite et je conseille clairement aux gens qui n’aurait pas joué au jeu de foncer pour la version complète.
Pour ceux qui ont déjà profité du jeu, allez-y si comme moi vous avez accroché à fond. Sinon les deux contenus vous laisseront sur votre faim puisqu’ils ne change en rien l’esprit du jeu.
Ce test a été réalisé sur ma PS5 grâce à un code dragué auprès de l’éditeur.