N’écoutez pas tous ces blasés du jeu vidéo qui pullulent sur la toile, le seul test de Brink objectif est ici !
Ejaculateurs précoces
A moins d’avoir vécu dans une caverne ces dix dernières années, vous aurez sans doute remarqué que les sites traitant du jeu vidéo sont légion. Or, pour se démarquer les uns des autres et tenter de ravir quelques visiteurs supplémentaires, certains n’hésitent pas à faire des vannes foireuses sur un site qui arbore un singe en slip comme mascotte, d’autres se contentent de prendre en photo les jeux qu’ils reçoivent pour vous montrer qu’ils sont plus VIP que vous, d’autres encore préfèrent jouer sur leur vivacité à sortir un test. Car les tests, c’est ce qui fait venir la grande majorité des lecteurs, désireux de savoir si le jeu qu’ils veulent acheter vaut le coup, ou parfois juste pour voir si le testeur en question est en accord avec leur propre opinion. Or, sortir un test trop rapidement n’est jamais bon.
Je me souviens par exemple de celui de Gamekult pour Chromehounds. Pas question de relancer le débat sur la qualité de ce que je suis le seul à considérer comme un excellent jeu, mais plutôt question d’argumenter mes propos, puisque le test de ces blasés de chez GK, pondu à la va-vite sur un bout de papier cul, était sorti avant même la mise à disposition des serveurs (jeu exclusivement multi je le rappelle). Idem pour le test de Brink sur JeuxVideo.com, sorti à l’emporte-pièce, après l’avoir testé douze minutes sur un mode solo plombé par une I.A. désastreuse (jeu exclusivement multi, je le rappelle également). De manière générale, la plupart des sites français ont défoncé le titre de Splash Damage, montrant du doigt une I.A. pitoyable et les nombreux lags dont le jeu souffre. Pour ma part, je vais prendre sa défense. Car Brink, n’en déplaise à tous ces branleurs sans cervelle, c’est un peu plus que ça.
A la même enseigne ?
Bien sûr, ces lags largement critiqués sur les différents sites et forums sont bien réels… de moins en moins certes, mais réels. Mais était-ce une raison pour descendre un jeu à ce point et le condamner à mort juste parce qu’il a été fini à la truelle ? Je ne me souviens pas que la presse ait été aussi catégorique lorsqu’il fallut tester Fifa 10 est ses milliards de bugs. Je ne crois pas non plus que L.A. Noire soit hué pour la surchauffe qu’il cause à nos consoles (pourtant bien plus problématique que quelques lags), ses textures baveuses et ses trop nombreuses chute de framerate ou que Gran Turismo 5 ait été relégué au rang de simulation automobile du pauvre à cause de ses bugs et de son clipping. Pourquoi deux poids, deux mesures dès lors qu’il s’agit des grosses productions qui lâchent plein de pognons dans des bannières publicitaires et des press tour tous frais payés à l’autre bout du monde ? Pas la peine de vous faire un dessin…
Car s’il est un fait que le jeu souffre de lag et qu’il est normal pour tout journaliste d’en parler, il ne s’agit pas d’une raison suffisante pour le lyncher comme Brink a été lynché. D’autant plus à notre époque, où les mises à jour des jeux sont plus nombreuses et régulières que les orgasmes de Clara Morgane. Même chose pour l’I.A., dont la médiocrité est également réelle, mais pas vraiment handicapante si on a plus de douze de Q.I. et qu’on sait donc faire la différence entre un jeu multi et un jeu solo (l’intelligence chez les journalistes jeux vidéo, ce n’est à priori pas la vertu première). Du coup, qu’est-ce qu’il reste de Brink lorsqu’on fait abstraction de ces quelques défauts, bien réels, mais mineurs ? Sans doute l’un des meilleurs FPS multijoueur… mais ça, les journaleux trop occupés à se regarder le nombril, n’ont pas pu s’en rendre compte.
Ça roule en SMART
Attention, je ne dis pas que les lags récurrents et l’I.A. désastreuse ne sont pas un problème… ils le sont, et j’espère sincèrement que Splash Damage finira par rendre tout ça plus stable. Mais je préfère ne pas m’attarder dessus en me disant que ce sera bientôt de l’histoire ancienne, et me concentrer plutôt sur les nombreuses qualités du titre, à commencer par son système SMART. Bon, d’aucun me diront que c’est un peu la lose de faire du Parkour sans voir les pieds de son personnage… et ils n’auront pas tort : C’est la lose ! D’autres me diront que Brink est quand même à des années lumières de Mirror’s Edge question acrobaties et level design, et là encore ils n’auront pas tort (ceci dit, Mirror’s Edge ne propose pas de multi). Toutefois, leur système de déplacements est suffisamment bien gaulé pour reléguer n’importe quel FPS en ligne au rang de dinosaure.
Grâce au SMART, les parties sont bien plus dynamiques… mais alors, bien bien bien plus dynamiques. Vous ne courez plus dans des couloirs plus ou moins ouverts, mais dans de larges environnements aux multiples embranchements, rendus possible grâce à l’escalade. Grâce au SMART les combats sont plus tactiques et plus vivaces, à mesure qu’on glisse pour éviter les coups de feu et surprendre un adversaire, ou qu’on fuit en sautant d’une passerelle à une autre. Difficile ensuite de revenir sur un FPS classique comme Call of Duty ou Battlefield, qui paraissent alors très lents, dirigistes et castrateurs. Mais attention, car pour en profiter pleinement, vous serez dans l’obligation de jouer un perso de petit gabarit, car la stature de votre avatar a une incidence directe sur le gameplay.
Problèmes de poids
En effet, à la création de votre personnage, outre les très nombreuses possibilités de personnalisation, vous aurez le choix entre trois gabarits possibles : Léger, moyen et lourd (enfin au début vous n’aurez accès qu’au moyen, les deux autres faudra les débloquer). Le gabarit moyen est, comme son nom l’indiquera aux plus observateurs d’entre vous, moyen. Il permet aux joueurs qui l’adoptent d’être relativement résistants, d’avoir accès à un arsenal élargi et de pouvoir se mouvoir sans trop de complications. Le personnage lourd est plus pataud. Les acrobaties ce n’est pas son truc, et à la course, il est loin d’être une flèche. En contrepartie, il peut encaisser d’avantage de balles et reste le seul à pouvoir s’armer d’une gatling ou encore s’équiper d’un fusil à pompe en arme secondaire. Enfin, le gabarit léger permet de se hisser dans des parties de la map inaccessibles aux deux autres gabarits, puisque le perso léger est le seul à pouvoir prendre appui sur un mur pour sauter plus haut.
Malheureusement, il est également le seul à pouvoir mourir d’une seule balle (un headshot sur une balle de snipe) tant il est fragile et ne peut s’armer que de pistolets mitrailleurs et autres révolvers… pas d’armes lourdes pour lui donc. Ces trois gabarits sont clairement complémentaires et offrent différentes approches. Ainsi, certaines classes semblent plus appropriées à certains gabarits. Et si les gabarits moyens sont bons dans chacune des quatre classes, le joueur léger sera surtout redoutable en ingénieur et en opérateur, quand le lourd sera plus efficace en médecin et en soldat. Car ne vous y trompez pas, Brink est un jeu collectif… les kamikazes et autres onanistes n’y sont pas les bienvenues, et de toute façon, ne feront pas de vieux os.
Un pour tous, tous pour un
Car comme le titre de l’article l’exprime si bien, Brink met le teamplay au centre du gameplay. A tel point que le frag en devient presque secondaire… ou si ce n’est le frag, tout au moins la mort. En effet, il ne faut pas avoir peur de mourir, parce que crever, ça va vous arriver un sacré paquet de fois. Le tout c’est de mourir pour l’équipe, en se ruant à l’assaut pour ouvrir une brèche, en détruisant/réparant un raccourci, et bien sûr en tentant d’accomplir un objectif. Les mecs qui attendent patiemment d’avoir le champ libre pour aller pirater un terminal n’ont rien à faire sur Brink. Il ne faut pas hésiter à se jeter dessus comme un mort de faim et prier pour que vos équipiers soient suffisamment intelligents pour vous aider, vous protéger ou vous réanimer le cas échéant. Bien sûr, rien ne vous empêche de placer une petite tourelle ou une mine qui va bien en amont ou de vous déguiser en ennemi clamsé pour passer incognito dans la défense adverse.
Dans le même esprit, il n’existe pas de Deathmatch dans Brink, ni même de statistiques pour vous indiquer votre ratio de frags/morts ; les frags sont mêmes relativement radins en XP. Chaque partie est soumise à différents objectifs, entre une équipe qui attaque et une autre qui défend, qui évoluent au fur et à mesure de la progression des assaillants (à la manière du mode Ruée de Bad Company 2). Ainsi, vous devrez pirater un terminal, réparer une grue, escorter un robot de maintenance ou un VIP quelconque, rapporter des données ou du carburant à un lieu donné (curieusement, les objectifs les plus compliqués), faire sauter un mur ou un pont… bref, y a de quoi faire. Et même si ces objectifs peinent parfois à se renouveler, c’est toujours plus varié qu’un simple Team Deathmatch ou Capture the Flag, non ?
Faites vos classes
Pour pimenter un peu les choses, Brink propose quatre classes distinctes et évolutives : Le médic, l’opérateur, le soldat et l’ingénieur. Le médecin a la particularité de réanimer ses coéquipiers et de booster sa jauge de vie ou celle de ses potes. Toutefois, cela reste limité et il faudra souvent choisir entre réanimer un coéquipier ou se soigner soi-même. Là encore, mieux vaut éviter de la jouer perso et choisir la meilleure option en fonction de la situation. L’opérateur peut pirater les terminaux informatiques et se déguiser en n’importe quel ennemi tombé au combat. Toutefois s’il tente la moindre action autre que des déplacements, il perd son déguisement. L’ingénieur répare les brèches, les grues et tout ce qui demande à être réparé de manière générale (notamment les terminaux que les opérateurs s’échinent à pirater). Il peut également poser des mines et des tourelles.
Le soldat quant à lui ravitaille ses ouailles en munitions et peut balancer des grenades flash ou des cocktails Molotov (bien plus efficaces que les grenades). Il existe encore pas mal de possibilités offertes à chaque classe, qu’il faudra débloquer en les « achetant » à coups d’XP. Mais sachez qu’il est impossible de monter plus de deux classes à fond. Il va falloir faire des choix. Heureusement, pour ça vous pourrez créer plusieurs avatars et ainsi les spécialiser chacun dans un ou deux domaines plus que dans un autre. Chaque avatar possède d’ailleurs son pendant Flic/Révolutionnaire, personnalisable visuellement indépendamment de l’autre, mais possédant les mêmes attributs. Pour varier les plaisirs, il est donc nécessaire d’en créer plusieurs. Malheureusement vous ne pourrez pas en changer en cours de partie. Encore une fois donc, si vous vous spécialisez en médic/soldat, il va falloir compter sur vos équipiers pour les objectifs d’opérateurs et d’ingénieurs.
On veut des maps !
Vous l’aurez donc compris, Brink n’est pas un FPS comme les autres, et c’est sans doute pour ça qu’il divise tant. C’est un jeu qui récompensera d’avantage la prise de risque collective que l’exploit individuel. Bien entendu, il souffre de quelques défauts plus ou moins handicapants : Les lags et l’I.A., comme cité en préambule et suffisamment ressassé sur le net ces dernières semaines, mais aussi d’un manque de maps (8, c’est peu pour un jeu multi), de l’impossibilité de changer de personnages en cours de partie ou même de modifier son apparence et ses armes (obligation de quitter la partie en cours pour cela). Certaines classes, et notamment l’opérateur, semblent également sous-évaluées par rapport à d’autres (médic et ingénieur sont les plus répandues car les plus efficaces) et, mais ça Splash Damage n’y est pas pour grand-chose, la recrudescence de boulets qui n’ont rien à faire là pénalisent encore d’avantage les équipes que dans les Call et autres FPS plus classiques.
Reste que Brink est un jeu survolté et jouissif pour peu qu’on s’y investisse un minimum, proposant des grands moments de stress quand le chrono tombe et que vous voyez la défense adverse bien installée autour de l’objectif à accomplir, tout aussi fort que les explosions de joie lorsque vous finissez par faire sauter ce putain de pilier dans les prolongations (parce que minuteur déclenché avant la fin du temps imparti). Et puis, on pourra dire ce qu’on voudra, mais un FPS en ligne où les campouses n’ont pas l’occasion de s’adonner à leur sport de prédilection, je ne sais pas vous, mais moi j’ai un peu tendance à le considérer comme le messie.
L’un des tous meilleurs FPS online à ce jour, ultra dynamique, garanti 0% de campouses et où le jeu d’équipe prime sur les individualités. Manque plus qu’un poil de stabilité et trois, quatre maps supplémentaires.
27 Commentaires
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Le vrai défaut pour moi c’est vraiment le manque de map, le manque de variété réellement franche des maps et le manque de variété franche des objectifs. Sinon c’est un régal (mais un peu le cul entre deux chaises, réservé à une niche de joueurs hardcores et vendu en même temps comme un truc abordable et presque grand public, plutôt paradoxal). J’ai beaucoup aimé la D.A. et la personnalisation.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Ouais, mais toi t’as un avis de joueur solo. Tu ne peux pas dire que le jeu manque de variété dans ses objectifs à des mecs qui squattent depuis six mois le Team Deathmatch de Call of Duty, où y a pas d’autre objectif que de buter l’équipe en face, ou le mode ruée de Battlefield, où le seul objectif est de faire sauter une grosse boite dans un bâtiment. A coté de ces deux jeux, qui accueillent pourtant des millions de joueurs chaque jour, Brink est ultra varié.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Par contre je suis d’accord… c’est un suicide commercial de vendre le jeu comme un jeu grand public, avec pub à la télé (pub de merde d’ailleurs) et tout le toutim, alors que le jeu n’est clairement pas fait pour les Callofdutysiens de base. Forcément, les mecs n’accrochent pas et font une mauvaise publicité du jeu à leurs potes et sur les forums.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
J’suis un joueur exigeant c’est tout. CoD me lasse très vite, encore plus que Brink, Battlefield c’est pareil. Mais clairement pour me tenir plus en haleine, c’est pas le fait de ne jouer qu’avec des humains qui va changer quelque chose quoi. J’aurais aimé plus de folie dans les objectifs et des trucs radicalement différent plutôt que 3 objectifs « skinnés » pour quelques variantes type escorter un robot/escorter un PNJ, pirater un truc/ouvrir un coffre/poser une bombe etc. Ca en plus du peu de maps et qui restent quasi toutes dans le même délire, ça me gonfle un peu vite. Y a beau avoir un excellent teamplay, si j’ai la sensation de toujours faire la même chose toujours aux mêmes endroit ça va pas faire long feu. Et ça je pense que si Splash Damage avait moins voulu plaire à tout le monde (ce qui est un échec) en collant une campagne solo/coop’ sans tellement d’intérêt, ils auraient eu le temps de bosser de façon plus conséquente sur le coeur du jeu hardcore (maps et objectifs). C’est dommage. Et ça me frustre parce qu’autant pour CoD et Battlefield je cherche pas midi à 14 heures, autant pour Brink le potentiel du teamplay fait que j’en attends bien plus.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
C’est de la merde ce jeu, je l’ai trouvé vraiment super lent/mou.
Le systême SMART, mouais, pas réactif je trouve.
Faudrait doubler la vitesse, et améliorer les graphismes.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Doubler la vitesse ? Moi je le trouve tout sauf lent (enfin sauf si on est fan de Quake ou d’Unreal, mais perso c’est pas mon truc). Et les graphismes, franchement j’m’en cogne. C’est certainement pas le plus beau jeu de cette génération, mais j’aime bien la DA. Je préfère un bon jeu correct graphiquement, qu’une immondice du type Heavy Rain, avec des graphismes photoréalistes. Après c’est chacun son truc.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Salut to’l monde 🙂
Pour commencer, je tiens à féliciter POLYGAMER pour la qualité de ce test.
Wow ! Non mais sans blague, on croit ( agréablement ) rêver ! Il existe donc encore des personnes capables de prendre le temps nécessaire pour évaluer un jeu, avant de sortir son test !!! Re-Wow ( et même yahou )!
Ayant consacré près de 60 heures à Brink, je suis heureux de voir, enfin, une description réaliste des aspects positifs et négatifs de ce jeu.
J’ajouterais que concernant le lag en multi, j’ai peut-être eu de la chance mais je n’y ai jamais été confronté. Je joue sur PC et cette plateforme semble, d’après les nombreux commentaires que j’ai pu lire, moins concernée que le monde XBOX.
Évidemment, je souscris complètement à votre analyse et à vos conclusions !
Bravo, et encore merci !
P.S. ( et si par la même occasion ça pouvait mettre une grande baffe à tous ceux qui passent 12 minutes pour décréter de la valeur d’un jeu … désolé, je m’égare dans de doux rêves )
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Oui, la version PC est épargnée par le lag. La version PS3 j’en sais rien, il n’y a pas eu beaucoup de retours vu que le PSN était en rade.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
La version PS3 marche très bien, en solo 😀 Mouhahahahah, désolé j’me sentais obligé de la faire. Sinon au final c’est des jeux multi qu’il te faut Fylo, comme ça t’as pas besoin de les finir 😀 (Ho dis donc, comme je suis taquin aujourd’hui hohohoh) Tiens et puis Nachcar t’es nul ! (Celle-là elle est gratuite, pour lui faire plaisir.)
On doit être le seul site où les rédacteurs troll plus que les lecteurs…
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Bah je fini la plupart des bons jeux solo… par contre je ne m’emmerde pas à finir ceux qui me saoulent. Et y a une troisième catégorie, ce sont les bons jeux solo que je lâche pour une raison X ou Y. Après j’ai du mal à trouver la motivation pour revenir dessus. Mais c’est certain, je préfère un bon jeu multi auquel je vais jouer plusieurs mois qu’un mauvais jeu solo auquel je vais jouer deux jours (et encore).
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Ouais mais tu finis même pas les jeux de tes tests même ceux que tu kiffes alors qu’ils sont nul (c’est sûrement lié au non finissage d’ailleurs) genre Darksiders ! HAHAH ! (Je précise aux lecteurs que je chambre, vous l’aurez compris, parce que Fylo réagis facilement, je le dis devant témoin sinon je vais encore être accusé de « décrédibilisation » publique 😀 (Oui parce qu’on a du crédit nous, ça rigole pas.)
Et sinon Brink y manque une réelle exploitation du smart via des objectifs verticaux et des maps plus vertigineuses, ça serait hyper fun (mais ça plairez pas à Fylo et Nach parce que ça existe pas). (Je précise que je chambre à nouveau ce qui devrait susciter des réactions d’insultes et me faire jouir parce que je suis taquin, mais la verticalité c’est vraiment vrai, y aurait de quoi faire quelque chose de frais et d’intelligent.)
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Bonjour du Québec à tous! Un grand félicitation pour vos commentaires. ENFIN un test qui est positif. Il est vrai que sur les autres sites, on dirait que Brink, c’est d’la merde. J’ai joué et j’ai adoré. Mis à part quelques points (que vous sitez dans votre test), hé bien j’en ai bavé!!!
Un excellent activant!
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Bienvenu. Juste un truc, ça veut dire quoi « un excellent activant » ? 😀
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Merci K.mi pour l’accueil.
Héhéhé un activant c’est un jeu qui te permet de suer en dessous des bras et de sentir ton poul dans tes lobes d’oreilles =O)
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
« Certaines classes, et notamment l’opérateur, semblent également sous-évaluées par rapport à d’autres (médic et ingénieur sont les plus répandues car les plus efficaces) »
Mouip… le medic et l’ingé’ (surtout le medic) sont très utilisés parce que ce sont des classes qui permettent de farmer l’xp sans foutre grand chose. C’est assez fréquent de voir un medic user tout son supply en début de partie pour buffer tous les gens qui ont respawn en même temps, parce que ça lui fait un max d’xp, et derrière de se retrouver à sec quand il doit revive un coéquipier.
L’operative ne permet pas de farmer l’xp comme ça, c’est pour ça qu’il est moins joué je pense, mais ça ne veut pas dire qu’il est moins efficace, plutôt que beaucoup de joueurs ont choisi la solution de facilité.
Testez un operative light vous verrez, avec quelques niveaux, ça devient une classe puissante, efficace et utile à l’équipe, en plus d’être assez fendarde à jouer.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
Je trouve aussi qu’en défense tu es souvent bien plus avantagé qu’en attaque. Les parties en défense tu les gagnes souvent et presque facilement quand tu connais bien les maps. Alors qu’en attaque t’as beau bien connaître et/ou être avec des killers, si l’endroit est bien gardé avec tourelles, mines et joueurs soudés, c’est quasi impossible de gagner. Y a sûrement un rééquilibrage à faire à ce niveau.
Brink met le teamplay au centre du gameplay.
L’Opérateur est une classe redoutable. Mon perso principal est d’ailleurs ingénieur/opérateur niveau 15, mais il est surtout intéressant à partir d’un certain niveau, quand tu peux pirater et contrôler les tourelles ou utiliser la bombe cortex (d’ailleurs j’aime bien placer une tourelle en ingénieur, me barrer au PC le plus près, passer opérateur et contrôler ma tourelle… en plus, ce sont les deux classes qui peuvent améliorer les PC). Alors que l’Ingénieur, le Médic et le Soldat sont des classes qui sont tout de suite très efficace au combat. C’est surtout ça que je voulais dire. Et je suis assez d’accord avec K.mi, en attaque il vaut mieux être bien coordonné pour gagner, alors qu’en défense, même une équipe foutoir peut poser beaucoup de problèmes.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Merci, enfin un test objectif (ou pas 😛 ) mais en tout cas qui fait bien la part des choses, et qui remet surtout les pauvres puceaux de chez JV.C à leurs place !
Je viens officiellement de retirer JV.C de mes favoris pour mettre Polygamer à la place, bravo messieurs !
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Un test objectif sur Polygamer ? On n’est pas prêt d’en voir ! 😀
Ici c’est test 100% subjectif. Et quand on n’est pas d’accord on se fout joyeusement sur la tronche dans la bonne humeur !
Bienvenu à toi en tout cas.
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Retirer jv.com pour mettre polygamer à la place ça doit faire tout drôle… T’as une sorte de choc nan ? Comme si tu découvrais soudainement la vie ? 😀
Brink met le teamplay au centre du gameplay
« Et puis, on pourra dire ce qu’on voudra, mais un FPS en ligne où les campouses n’ont pas l’occasion de s’adonner à leur sport de prédilection, je ne sais pas vous, mais moi j’ai un peu tendance à le considérer comme le messie. »
On ne peut qu’être d’accord avec cette phrase lol.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Ouais, enfin, je veux pas jouer le rabat-joie, mais si je prend soldat lourd + kevlar + XXX barres de vies, je peux camper où je veux hein.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Moi aussi, avec ma tente Quesha de Décathlon, je campe ou je veux !
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Sauf que y’a une sacrée différence entre ce que tu appeles camper dans BRINK et dans CoD par exemple (je prend celui là totalement au hasard… lol).
Dans CoD t’as des mecs qui s’allongent dans les coin, avec le viseur vers la porte, si y’a une autre porte ils foutent une claymore.
Par exemple dans la carte Villa (celle de BO) les mecs qui se mettent tous dans la petite maison, caché derrière le bar, dans le ptit couloir ou au 2ème étage avec la blinde de claymore.
Dans BRINK tu peux pas camper de cette manière, pour la bonne raison que 3 balles suffisent rarement à tuer, moi aussi en lourd avec chinzor je peut me mettre a un endroit et empêcher les mecs de passer mais c’est pas se mettre dans les coins, attendre qu’un mec passe pour lui mettre une rafale dans le dos… Surtout que dans CoD tu as camping avec fantome pro, claymore ou détecteur de mouvement, chose que tu n’as pas dans Brink.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Entièrement d’accord avec Torisuka.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Moi aussi… et puis de toute façon, d’accord ou pas d’accord, il suffit de jouer à COD ou à Battlefield, puis de jouer à Brink, et tu comprends tout de suite.
Brink met le teamplay au centre du gameplay
Même pas y jouer quand je vois mon frère y joué j’ai juste envi de vomir (pas au sens propre du terme mais c’est écœurant) quand je vois les mecs qui foutent leur claymore partout et qui s’allonge… CoD la 1ère simulation de sommeil en période de guerre… ça me donne pas envi d’y remettre les pieds.