Bioshock Infinite est-il un jeu de commande qui a été conçu avant tout dans l’optique de vendre des jeux exploitant un nom désormais bien connu ?
La nalyse n’est pas systématiquement raccord avec l’actu, elle n’est pas objective, ce n’est pas une fiche technique, elle ne fait pas de détails ou en donne tout plein selon l’humeur, elle n’est pas faites pour influencer tes achats de consommateur fou parce qu’elle n’en tirerait aucun intérêt, elle est juste écrite pour te faire partager mes goûts à moi, ton K.mi qui t’aime (un peu comme un gosse qui fait popo et qui est fier et émerveillé de le montrer à tout le monde.)
Je vous l’introduis tout entier
Le pitch dans ta potch
1912, Booker DeWitt est envoyé à Columbia par un mystérieux commanditaire dans l’optique de récupérer une certaine Elizabeth. S’il la ramène saine et sauve à New York il effacera ses importantes dettes… Petit détail : Columbia est une citée secrète, détachée de tout gouvernement et qui flotte dans les airs.
Attardons-nous là-dessus (enfin, moi, surtout…)
Seulement, autant le dire tout de suite, le jeu est loin d’atteindre le statut du premier épisode à mes yeux. Ma principale crainte était d’avoir droit à un Bioshock dans les airs et il faudrait quand même être de sacrément mauvaise foi pour dire que ce n’est pas le cas. Tellement de choses sont là « pour faire comme Bioshock » qu’il m’est extrêmement difficile de ne pas penser que cet Infinite n’est finalement qu’un jeu commercial, telle une énième suite d’une licence, presque sans identité propre.
Un vulgaire skin aérien sur Bioshock, oui, après avoir fini Infinite, c’est à peu de choses près ce que j’en pense. Je ne nie pas les efforts apportés pour s’en démarquer, mais ils sont en finalité que des ajouts presque sans intérêt à une mécanique complètement calquée et qui était vouée à rester originale et sans suite. Avec ce titre, Ken Levine se trahi lui-même, trahi son propre travail et sa propre volonté d’avoir voulu réaliser avec Bioshock une œuvre unique à contre courant de tout ce qui se faisait. Il trahi toute l’obstination qu’il a eu avec son équipe à faire sortir cette histoire dans Rapture alors que les éditeurs voulaient du FPS de guerre lambda pour vendre. Oui, Bioshock Infinite est « pour faire comme Bioshock » et donc vendre comme lui. Celui-là ils n’ont pas eu à se battre pour le sortir. Et s’il arrive à se sauver par quelques très bons aspects, ça tient du miracle.
Dans Columbia on est parfois confronté à des espèces de gros bonhommes un peu robotiques (j’ai même oublié leur nom, c’est dire). Pourquoi faire ? « Pour faire comme Bioshock« , où les Big Daddy offraient des confrontations épiques et mémorables, difficiles, mais au libre arbitre des joueurs. Dans Infinite les Big Daddy-like sont non seulement moins charismatiques mais en plus ils ne servent à rien et sont faciles à battre, ce qui les rend encore plus inutiles. – Jouer aux deux jeux en mode normal est assez troublant, la facilité ayant été boostée. Alors oui il y a un mode « 1999 » débloquable mais seulement lorsqu’on a fini le jeu une fois… – Inutile comme le songbird, geôlier impressionnant d’Elizabeth qui n’est là que pour deux ou trois phases scriptées tel n’importe quel Call of Duty venu et faire une apparition à la fin.

Dans Columbia, un prophète dirige la ville ce qui nous propose une réflexion sur l’endoctrinement. Ca vous rappelle quelque chose ? Bon sang mais c’est bien sûr ! Rapture dans Bioshock ! Même le scénario louche grandement sur son ainé, s’il se démarque sur la fin (j’y reviendrai) le fil rouge scénaristique est tout de même similaire sur bien des points.
Même l’aérotram et ses rails dans les cieux qui semblaient être une très grosse part du gameplay ne sont au final qu’anecdotiques. Et je ne parle pas des phases de shoot, extrêmement nombreuses (trop, oserais-je dire) et pourtant sans vraiment de sensations sûrement dû au fait d’avoir l’impression de diriger une caméra qui flotte. Le héros n’a pas de jambes. Si l’équipe de développement s’efforce de rendre les thèmes approchés adultes, modernes, il faudrait peut-être aussi adapter le game design et le faire sortir des années 90…
Et puis nous sommes accompagné tout au long de l’aventure par Elizabeth. Si son I.A. est un peu plus avancée qu’un clébard de coéquipier lambda, il faut quand même avouer que son intérêt est surtout scénaristique puisque son maniement des failles temporelles offre quelques moments qui viennent un peu démarquer l’ensemble de l’histoire pour lui offrir une identité propre, enfin ! J’ai aussi beaucoup apprécié les très brefs mais francs passages où le racisme est abordé de plein fouet. C’est sans doute là une des premières fois dans un jeu vidéo que le sujet est traité alors que les personnages sont tous humains. On parle de noirs et de blancs. Pas d’une race extraterrestre qui se comporte mal envers une autre…
Bioshock Infinite est tout de même à faire au moins une fois dans sa vie, juste pour sa première heure de jeu et éventuellement son dernier quart d’heure (si vous aimez le grand-guignolesque). Pour ce qui se passe au milieu, c’est majoritairement « pour faire comme Bioshock« , ce qui n’a aucun intérêt. (Mention bien tout de même pour Rosalind et Robert, drôles et inattendus.) Et si vous me jugez sévère, peut-être que c’est parce que je refuse de juger un Bioshock de l’équipe d’origine comme un énième Call of Duty, ils auraient pu faire tellement, tellement, tellement mieux. Vite, qu’ils se mettent sur un titre original pour la prochaine génération et qu’ils laissent 2K essorer la licence Bioshock dans leur coin.
Les trucs à ressortir en société pour susciter de nombreux fantasmes chez les personnes de ton choix
– Un employé d’Irrational a voulu démissionner au cours du développement du jeu, choqué par sa représentation de la religion. Ken Levine et lui ont discuté pendant plusieurs heures de la foi et de tout ce qui va avec, l’employé en question est ainsi revenu sur sa décision et le jeu s’en est parait-il retrouvé amélioré. Honnêtement, ça ne se voit pas particulièrement, l’aspect religieux ressemble beaucoup à l’endoctrinement dont étaient victimes les anciens habitants de Rapture… Rien d’exceptionnel.
– Des jaquettes alternatives sont disponibles à cette adresse, il vous suffit d’une bonne imprimante.
42 Commentaires
Bioshock Infinite, la nalyse
Je vais pas faire un copier/coller du mon commentaire du forum jeux video,mais ce biosock est un beau gachi.
Je rajouterai juste que comme toi j’ai kiffé la première heure du jeu,nos premières rencontre avec Elizabeth dans son labo,mais malheureusement tout ça retombe bien vite.Même si la fin est original,elle ne sauve pas le jeu.
Alors ok,comme dit K.mi,à faire une fois dans sa vie,mais d’occaz ou en promo
Bioshock Infinite, la nalyse
Et la fin t’en penses quoi ? C’est foutraque nan ?
Bioshock Infinite, la nalyse
J’ai pas du tout accroché à l’ambiance de la première heure, contrairement à toi.
En grande partie à cause de ce manque de rythme et de réalisme, entre un personnage sans jambes, des longues marches dans un décor relativement moche (alors qu’avec une cité dans les airs, on s’attendrait à des plans vertigineux), à chercher de l’argent ou du café dans les poubelles et les tiroirs, ou encore à noter toutes les similitudes avec Bioshock premier du nom.
Même le coup de la tombola, je l’ai trouvé mal amené et mal foutu (t’as une cinématique ingame de dix secondes et après, y a plus un chat dans tous le village… ils sont passés où tous les gens en dix secondes ?). T’as même pas de véritable choix, avec ses propres conséquences. C’est juste un choix pour ton égo.
En plus, je trouve les séquences de shoot trop nombreuses et sans intérêt, tant le feeling des armes est foireux. Quitte à jouer un shooter, je préfère encore un Call of Duty. Au moins t’as une mise en scène choc, parfois clichée et/ou tirée par les cheveux, mais choc.
Bioshock Infinite, la nalyse
Je suis de l’avis de fylo/draconnian globalement, donc je vais juste parlé des allusion faite au racisme présente dans le jeu. Le sujet est abordé d’une manière tout sauf intelligente et réflexion de fond, juste lancer comme ça avec une position victimaire d’éternel persécuter. Je vais pas aller plus loin, pour parlé correctement de ce sujet il me faudrais pas mal de lignes et je n’ai de toute manière pas envie de lancé un débat la dessus sur un site de jeux vidéo/film, c’est chiant.
Bioshock Infinite, la nalyse
Tu es donc aussi de mon avis 😀
Sinon pour le racisme, le sujet est abordé brièvement mais il a le mérite d’être abordé et d’être abordé de face. Le thème principal du jeu ne tourne pas autour de ça donc c’est plutôt vite vu (à travers des affiches, des voxophones et quelques passages de jeu) mais ça a vraiment le mérite d’être abordé. On est dans une ville fictive, qui s’est détachée du gouvernement américain, donc ce n’est pas non plus sensé représenter réellement ce qu’il se passait là-bas en 1912 faut pas l’oublier… Donc peu importe comment ils se positionnent (et outre mesure ni même comment c’est amené), l’important selon moi c’est que c’est abordé sans se cacher derrière des extraterrestres ou je sais pas quoi.
Et ça ça fait du bien. On ne nous prend pas pour des enfants.
Bioshock Infinite, la nalyse
PS : Fylo, si ça a quelques conséquences malgré tout mais ça pour le voir faut jouer plus d’une heure au jeu 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Ouai du coup je suis aussi d’accord avec toi. 😀
Oui sinon sur ces sujet la, le JV a encore beaucoup à faire. D’ailleurs sur mon projet personnel je compte abordé des sujet que trop rarement abordé dans le JV et de manière cru, sans me cacher derrière du politiquement correct. Bon avant que vous en entendiez parlé il y a de la marge, projet entièrement solo donc ça va prendre du temps 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Pour parler de la fin,oui,c’est quand même nawak.Si tu réfléchit bien,tu peut te faire ton propre avis.
Perso quand j’ai finit le jeu,il était 2h du mat et jdevais me lever tôt pour le taffe,du coup j’ai maté sur le net pour trouver une piste ou deux.
Le problème de la fin,sans spoilé,c’est qu’elle est hyper mal amené,et ça part en vrille d’un coup sans aucune explication,du coup,vu que le reste du jeu est pas cérébral,d’un coup tu doit réfléchir et mon cerveau était pas préparé ^^
Et aussi SongBird qui sert à rien,j’avais hâte de l’affronter et finalement…
Bioshock Infinite, la nalyse ça reste crédible mais c’est grave tiré par les cheveux. Du coup je trouve ça quand même beaucoup plus foiré qu’intelligent.
Pour la fin je te rassure, j’ai fini le jeu en plein après-midi et j’ai pas mieux compris pour autant. Ni compris en ayant compris, enfin j’veux dire, même en ayant compris le gros du truc, je vois pas comment ça pourrait être intéressant. Alors oui c’est surprenant et avec
Un truc que j’comprends pas non plus c’est l’engouement autour du jeu. Il ne le mérite pas.
Bioshock Infinite, la nalyse
Et puis merde s’il faut faire des recherches pour réussir à comprendre la fin c’est dire si c’est foiré…
Bioshock Infinite, la nalyse
Moi j’ai adoré.
C’est vrai que d’un point de vue purement gameplay, c’est peut être pas un très bon jeu (ça reste quand même très potable et avec quelques bonnes idées : aerotram, modelage du décor, retour de la barre de vie qui se regénère pas et des medikit ; c’est pas parfait, mais c’est frais).
Par contre, en terme de narration, j’ai bandé. Le monde est tellement cool, j’ai adoré fouillé les moindres recoins en allant au sens opposé qu’indiquait la flêche de guidage, chercher les voxophones pour piger comment fonctionnait la cité etc. Je concède qu’il faut aimer se prendre la tête, mais le background du jeu est extra : l’époque, les évènements qui ont façonné la ville (historiques et uchroniques), les histoires des perso secondaires (lutèces et Fink en tête).
Impossible pour moi également de tout comprendre à la fin du premier coup, mais quel régal alors de recommencer le jeu pour mieux piger.
Faire des recherches pour réussir à comprendre la fin, ça veut pas dire que c’est foiré. J’ai fait le même genre de démarche pour piger Matrix, Memento ou Inception. L’engouement vient d’ailleurs sans doute de là : le plaisir d’échanger ses théories sur une expérience commune. Bioshcok Infinite est une réussite dans son background et sa narration, et je pense que ça, ça relèvera toujours le niveau d’un jeu au gameplay mauvais (Deus ex, Metal Gear, prochainement peut être Remember me : du gameplay daté, des oeuvres cultes). Bioshock Infinite est suffisamment marginal pour rassembler.
Je voulais aussi réagir au fil rouge de l’article « pour faire comme bioschok ». Infinite est quand même pas mal différent de son grand frère pour un jeu portant le même nom. Plus différent qu’un Modern Warfare pour Call of duty par exemple. A mon avis, on est bien obligé de rester fidèle à l’ADN de sa licence, sinon effectivement, on fait un autre jeu. Surtout que en ce qui concerne l’historie d’Infinite, que ça ressemble autant au premier Bioshock fait parti de la réflexion prise de tête du scénar’ :
Bioshock Infinite, la nalyse
La barre de vie qui ne se régénère pas c’est pas tout à fait vrai, c’est à la Halo avec un bouclier complètement incohérent qui se recharge et une barre de vie « normale ». Ca revient au même.
Et j’suis pas d’accord pour Matrix, Memento et Inception que j’ai aimé sans avoir eu besoin de fouiller internet pour piger. A la limite c’est cool d’échanger des théories s’il y a un suspense un peu comme Lost sauf que Lost à la fin ils ne t’apprennent rien et te donnent juste l’impression d’avoir gâché 8 ans de ta vie à regarder.
Et je persiste à dire que si tout n’avait pas été fait pour faire comme Bioshock ça aurait pu être vachement mieux. Après que les gens aient aimé justement parce que c’est comme Bioshock je veux bien (c’est le principe du jeu commercial, de la suite) mais pour moi c’est pas du tout à la hauteur ni digne du talent de son équipe de développement. Et je persiste aussi et signe pour dire que la narration d’Infinite est mal intégrée, et juste présente « pour faire comme Bioshock » justement vu qu’elle est identique (en dehors du truc des failles qui jouent un rôle évidemment). Et d’ailleurs Timesplitters a déjà fait des histoires de voyages dans le temps aussi, on en n’a pas fait toute une histoire.
Non désolé, moi je place Infinite vraiment en dessous de Bioshock et j’ai vraiment le sentiment d’un jeu commercial. Alors certes des jeux commerciaux comme ça c’est super mais je me place par rapport à l’équipe de développement encore une fois, de Ken Levine, pour eux c’est un boulot juste à peine passable.
Je ne trouve pas cette suite légitime. Un peu comme Quantic Dream ils auraient dû avoir les couilles de refuser de faire une suite.
Et l’aérotram c’est une fausse bonne idée, tant il est anecdotique dans le jeu. Enfin je ne vais pas refaire ma nalyse…
N’empêche que non je ne trouve pas Bioshock Infinite indispensable hormis pour sa première heure de jeu (à la limite si elle est dispo en démo c’est suffisant). Et pour moi il n’est clairement pas culte contrairement à son ainé. D’ici quelques mois et une ribambelle de jeux je l’aurais largement oublié. Sauf cette première heure donc, ce qui n’est déjà pas mal remarque.
Bioshock Infinite, la nalyse
Elle était chouette l’histoire de voyage dans le temps de TimeSplitters Future Perfect.
Tu te faisais aider par un mystérieux sniper au tout début du jeu, et à la fin tu devais justement jouer cette mission où le toi du passé snipe à tout va pour libérer le passage de ton toi du futur que t’as joué au début. 😀
Ça m’a marqué cette séquence.
Bioshock Infinite, la nalyse
Bon en tout cas on voit que le hype autour du jeu est retombé, on en parle plus. Dis donc c’est terriblement efficace IGN et toute la clique niveau poste/pub virale, comme quoi ils sont compétent quand ils veulent.
11/10 GOTY
10/10 Best game of the decade
Un meilleur jeux de tout les temps tout les 2 mois environ… ça commence à être sérieusement ridicule.
Bioshock Infinite, la nalyse
Pour compléter un peu l’anal hise, je n’ai pas trouvé la jouabilité au top non plus. J’y ai joué sur PC et le système de switch de tonique est (pour moi) foiré, en plein combat c’est la misère pour avoir le tonique souhaité: en général ça se barre en cacahuète rapidement dans le feu de l’action alors balance le tonique au pif suivant ce qui est sélectionné à l’instant X.
Ceci dit c’est peut être moi qui suit une quiche.
Je rejoins l’avis du chef sur le gameplay aérien qui tient plus du coup marketing que d’un véritable +. Quand on est accroché sur les rails c’est mission impossible pour viser. J’y ai joué en difficile et on se fait sacrément allumé, même à fond la caisse sur le bousin. Donc au final ça sert à aller d’un point A à un point B. Et ça sert aussi le level design.
En ce qui concerne les améliorations de vêtements, les 3/4 sont inutiles.
Encore une fois ça reste mon avis!
Bioshock Infinite, la nalyse
Moi j’ai grave kiffé ma race sur ce jeu parce que ce qu’il m’a donné exactement ce que j’attends d’un jeu-vidéo de ce genre : une bonne aventure.
Et la fin déchire. Et pas la peine d’aller checker sur internet, suffit d’y réfléchir un peu.
L’un de mes jeux préféré (même si j’ai préféré le 1er pour les combats, enfin, oui et non).
Bioshock Infinite, la nalyse
Bon c’est le moment de sortir la balise spoiler, mais là j’écris un peu pour ne rien dire histoire qu’une phrase qu’il ne faut pas n’apparaisse pas en homepage.
La fin, parlons-en :
Bioshock Infinite, la nalyse
Pour ceux qui ont la flemme de chercher les explications pour la fin:
http://www.jeuxactu.com/bioshock-infinite-la-fin-expliquee-point-par-point-86794.htm
J’ai trouvé que la fin arrive vraiment comme un cheveux sur la soupe. C’est le flou total pendant tout le jeu (et pourtant j’ai récup autant de voxophones que je pouvais) et çatombe à la fin en vrac. C’est le grand déballage de printemps à l’arrache.
Ceci dit une fois toute l’explication lu tout s’éclaire et on se dit que c’est plutôt bien ficelé.
Ca n’empêche que sans les explications je n’aurai pas capté la moitié.
Bioshock Infinite, la nalyse
Y a tellement de fois les mots « absolument génial », « chef d’oeuvre », « excellemment bien écrit » dans ton lien de Jeux Actu que j’ai vomi. J’arrive vraiment pas à comprendre pourquoi tout le monde pense ça. Des fois j’ai trop l’impression que ça fait juste boule de neige et que les gens ont déjà un avis avant même d’avoir joué au jeu, « j’ai lu que c’est excellent donc je vais penser que c’est excellent ».
Et j’avais compris tout ça globalement, en fait, ça m’empêche pas de toujours trouver ça foutraque et mal écrit. La narration est basique en dehors des voxophones qui ne sont là que parce que c’était déjà dans Bioshock sans être aussi bien intégré au game design, et les failles temporelles servent d’excuses pour que le scénario avance juste en cinématique sur le dernier quart d’heure. Ca n’a rien d’exceptionnel, ni de révolutionnaire. Comme toi Poltius je trouve que ça arrive comme un cheveu sur la soupe, Ken Levine a voulu faire un twist mémorable sans doute, sauf que c’est tellement alambiqué que l’effet tombe complètement à l’eau (de Rapture).
Rhaaa putain je suis presque dégoûté de ne pas trouver tout ça aussi bien que les autres, j’ai vraiment pas réussi à être immergé dans l’univers après la première heure de jeu qui m’a pourtant vraiment charmé. J’arrive pas à m’empêcher de penser que du coup tous ceux qui kiffent sont juste des moutons (et/ou des hipsters). Je ne comprends pas qu’on arrive à trouver ça réellement super génial avec un minimum de recul… Enfin bref, c’est pas grave. Après tout y a des jeux très classiques que j’aime beaucoup moi, personne n’est parfait 😀
PS : Levine a indiqué sur Twitter qu’il écrivait son prochain jeu. Pas un Bioshock j’espère. Et je l’attend au tournant.
Bioshock Infinite, la nalyse
(Je m’aperçois que je commence à me répéter de commentaire en commentaire, désolé. Mais voir tellement de personnes subjuguées par des trucs que je trouve passable sans plus voire bidons, ça me fait mal. Je dois être fou faut croire.)
Bioshock Infinite, la nalyse
En même temps, un truc qui vient de JeuxActu, c’est forcément vomitif…
… Les mecs passent leur temps à blinder leurs textes de qualificatifs à la con, histoire de faire bien sur les affiches publicitaires qu’ils financent. Ils feraient mieux de corriger leurs fautes d’orthographe (rapport à l’affiche de NBA 2K11 dans le métro, avec la mention Jeux Actu « Meilleur jeu de basket de touT les temps » ahahahahhaha).
Bioshock Infinite, la nalyse
Ouais enfin k.mi, des trucs passables encensés par la presse et par le public, c’est pas la première fois que ça arrive, dans le jeu vidéo comme ailleurs, il est temps de s’y faire.
Bioshock Infinite, la nalyse
Ouaip, c’est ce qu’on appelle créer du hype sur le principe du téléphone arabe. J’ai entendu dire que c’est excellent, je vais dire que c’est excellent, l’autre va dire que c’est excellent puis on va tous être convaincu que c’est excellent sans même avoir jouer au jeu puis une fois que tout le monde l’auras acheté, le hype redescendras brusquement. Objectif atteint, le jeux ce vend bien.
Les avis potable de gens avec un minimum d’avis critique commenceront à faire surface quelque temps après la spirale de hype virale et nauséabonde. Vous répétez ce processus pour tout les jeux AAA avec la complicité de la presse.
Si le jeu ne marche pas malgré ça, vous aurez droit à un communiqué de l’éditeur (au US) comme quoi son jeux méritais d’avoir du succès et que les joueurs ne sont que des entitled scum, sexiste et homophobe.
Ça marche aussi avec les films et autre.
Bioshock Infinite, la nalyse
Ceci dit y a des jeux très bons, réputés très bons, que je trouve très bons aussi, c’est quand même pas systématique. Le truc qui me dérange c’est que je revendique ici ma non objectivité, je ne fais pas une addition d’aspects pour tirer une conclusion, j’peux apprécier un titre alors que tout porte à croire qu’il est nul, juste parce qu’un truc m’a séduit et porté jusqu’à la fin. Et là quand je lis tout ça sur Infinite j’ai l’impression d’être plus objectif que la presse, je trouve ça étrange même si c’est loin d’être la première fois sur Polygamer.
Bioshock Infinite, la nalyse
Oui c’est vrai qu’ il y a des jeux AAA (putain j’aime pas ce terme) qui mérite leur réputation/succès, mais malheureusement c’est de plus en plus rare je trouve, une bonne partie des jeux que j’ai vraiment adoré sur cette gen et qui m’ont marqué sont des jeux qui sont passé sous le « radar ». Des jeux qui souvent, ont des errances dans leur gameplay ou mécanique de jeu, mais qui ont une atmosphère, scénario et un feeling qui te fait oublier ces problèmes.
La maintenant tout ce que je vois c’est des jeux générique et autre reboot/suite de glorieuse licence dont on as déterrer le cadavre pour en violer les reste, une tendance exacerbé par le fait qu’on est en toute fin de gen, on ce retrouve avec des jeux pop corn sans âmes que tu oublie une fois fini mais qui sont vendu comme le nouveau meilleur jeux de tout les temps par une presse de connivence qui n’as même plus honte du ridicule de ses articles.
Bioshock Infinite, la nalyse
J’attends quand même comme un fou Last of Us et GTA V 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Moi aussi j’attends The Last of Us…. Mais j’attends surtout une nouvelle ps3 T-T …
Après The Last of Us je ne m’attends pas à la tuerie ultime non plus : un Uncharted version à peu près survie avec une barre de vie (rien que pour ça faut qu’il marche ce foutue jeu) et une pisseuse dans les pattes.
Bioshock Infinite, la nalyse
Personne n’attend Beyond Two Souls ?!
Bioshock Infinite, la nalyse
Bof ça dépend, si tout le jeux est comme sur les vidéo, non. Parce que je trouve qu’il y a vraiment trop peu de gameplay du coup. Après faut voir le jeu finale même si je suppose que ça changeras pas grand chose.
The last of us je suis sur que ça ne vas pas être extraordinaire comme jeux. 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
@Isaac => Bah GTA V et Last of Us sont au sommet de ma liste mais ça empêche pas qu’il y a une belle poignée de titres que j’attends pas mal aussi, Beyond en fait partie, Remember Me, la saison 2 de Walking Dead, Assassin’s Creed 4, Watch_Dogs et j’pense que d’autres vont venir se greffer d’ici l’E3. J’en oublie même peut-être déjà.
Et pour les Uncharted on pourra dire ce qu’on veut, j’ai adoré les jeux. Particulièrement le 2 et vraiment beaucoup le 3 (le 1 je l’ai trouvé sympatoche), donc Last of Us, oui, je l’attends énormément. Je peux d’ailleurs rebondir là-dessus en rapport à la Nalyse d’Infinite. Uncharted 2 (et 3) étaient encensés par la critique et par les gens, ben moi j’ai adoré aussi même s’ils n’étaient pas parfait. Déjà le 2 a révolutionné la mise en scène des jeux d’action à la troisième personne, c’était du jamais vu, très maîtrisé, et puis c’est typiquement le style de jeu qui amène des suites logiques. Nathan est un aventurier, t’as envie de vivre plusieurs aventures avec lui, pas juste une. Ca n’a pas de vocation hyper originale et unique comme le premier BioShock avait. Du coup je trouve les suites vraiment légitimes, pas comme Infinite. Et je n’aurais même rien contre un Uncharted 4 sur PS4, au contraire. Ca fait même partie des exclu qui pourraient définitivement me faire craquer pour la PS4 plutôt que pour une autre bécane. Du moment qu’on n’a pas un Uncharted tous les ans, ça fait partie des licences que je prends plaisir à retrouver à chaque épisode jusqu’ici.
Bioshock Infinite, la nalyse
J’ai oublié Outlast et Amnesia 2 tiens par exemple ! 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
P’tain, moi les jeux que j’attends encore sur cette gen, ils sont vraiment pas nombreux…
La saison 2 de Walking Dead, ouais, GTA V (forcément), et Tales of Xilia ()… voire Tales of Xilia 2 s’il finit par débarquer en Europe un jour. Et c’est à peu près tout (du moins dans ce qui a été annoncé).
Watch_Dogs peut être sympa… mais j’ai peur du syndrome Assassin’s Creed (une bonne idée, mal maitrisée). Ubi oblige (c’est quand la dernière fois qu’Ubisoft a sorti un vrai bon jeu ???).
The Last of Us me disait bien… jusqu’à ce que je joue aux Uncharted (après, s’ils font un Uncharted, moins les gunfights mous du genou tous les trois mètres quarante-deux, pourquoi pas).
Remember me, ça sent le jeu très très moyen (pour ne pas dire à chier) à plein nez.
Beyond Two Souls, j’attendrais sa diffusion sur NRJ 12 (mater un téléfilm à petit budget sur une console de jeu, c’est pas terrible je trouve).
Et Splinter Cell, vu comment le précédent m’a dégoutté de la licence, je pense que je vais éviter.
Y a peut-être Assassin’s Creed Black Flag pour lequel je me laisserai tenter, malgré mon aversion pour la série (ça sent la revente au bout de trois jours… comme le 2 et Bioshock Infinite d’ailleurs), juste parce que c’est une histoire de pirates et que ça m’énerve de ne pas avoir de jeux de pirates.
Sinon, un peu comme Walid, je suis la plupart du temps super déçu par les AAA.
A part Far Cry 3, Dishonored et Borderlands 2 (parce que je le fais en coop’ et qu’on se marre bien), je n’ai pas souvenir de m’être éclaté sur un AAA depuis Red Dead Redemption et Alan Wake (mai 2010 quand même).
Y en a eu quelques-uns de sympatoches (Mass Effect 3, Tomb Raider, …), mais rien de transcendant non plus.
En fait, depuis quelques années, mes meilleurs souvenirs jeu vidéo version consoles de salon, c’est sur XBLA (Dust an Elysian Tail, Trials Evolution ou Mark of the Ninja)… Ah, et Catherine (il était putain de chouette celui-là). 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Vous avez fait à peu près le tour des jeux que j’attends également. Il y a Dark Souls 2 aussi.
Pour Beyond, c’est clair que c’est plus vraiment un jeu et je comprends que ça ne plaise pas. Mais moi j’avais beaucoup aimé Heavy Rain, et ce que j’ai vu de Beyond pour le moment me plaît bien. Le concept du film interactif, quand c’est complètement assumé, ça ne me dérange pas. Au contraire, c’est dans ce genre de jeux qu’on a un scénar qui tient la route et qui est plutôt bien foutu; ça change. (En plus, j’aime bien Ellen Page :D)
Bioshock Infinite, la nalyse
Ouais, le problème c’est que le scénar’ de Heavy Rain était un peu moisi je trouve…
J’avais l’impression de jouer à Hollywood Night (les vrais savent).
De plus, t’as certains jeux qui arrivent à te raconter de vraies histoires, bien ficelées, sans pour autant passer outre l’interactivité.
Alan Wake, Catherine ou Spec Ops avaient des scénarios bien plus passionnants que Heavy Rain, pourtant ce sont de vrais jeux.
Mieux, le Walking Dead de Telltale est sans doute parmi ce qui s’est fait de mieux en terme de narration et d’émotions partagées (même si ce n’est pas non plus un monstre de jouabilité et qu’il tend parfois trop vers le film interactif lui aussi), et pourtant la technique est à la ramasse. T’as pas besoin de voir les points noirs sur le nez de l’héroïne quand elle chiale pour ressentir un truc.
Perso ça me gave cette course au photoréalisme. Si je veux voir une belle histoire avec de vrais acteurs et des graphisme photoréalistes, je vais voir un film.
Avant de chercher à avoir les plus fins pixels du monde, les développeurs feraient mieux de chercher des univers novateurs. J’ai plus de respect pour le gars qui va te pondre un charadesign génial, que le mec qui va dessiner Elle Page dans ses moindres détails. D’un côté, t’en as un qui reproduit un personnage existant, de l’autre t’as quelqu’un qui crée.
Bioshock Infinite, la nalyse
C’est vrai que le scénar d’Heavy Rain était pas une merveille non plus, mais comparé à ce qui se fait en général, c’était clairement mieux. Et ce que j’ai surtout apprécié, c’était les choix proposés et leurs conséquences sur le scénar. C’est quand même super rare d’avoir des jeux dont les choix ont une telle influence (c’est déjà rare d’avoir des choix tout court).
Après c’est clair qu’il y aussi de « vrais » jeux qui racontent de vraies histoires. Je suis d’accord. L’un n’empêche pas l’autre. Mais comparer à la pelé de jeux qui sortent par année, ça fait pas beaucoup.
Pour Walking Dead, c’est pas vraiment un bon exemple… Entre Point and Click et QTE, je ne vois pas de différence. 😀
Sinon, outre le fait qu’il reproduit peut-être Ellen Page, on peut pas dire que Cage ne crée pas. Au contraire, il fait plutôt des trucs originaux, à contre courant, et avec des idées plutôt novatrices.
Puis bon, j’ai pas dit que ce qui me plaisait dans HR ou Beyond c’était les pixels tout fins de toute façon (je laisse ça à Walid 😀 :D). Cela dit, quand le perso avec lequel tu joues ressemble à quelque chose, ça aide quand même au niveau empathie et émotions. Mais je ne suis pas non plus pour le photoréalisme, si le reste derrière ne suit pas. C’est clair.
Bioshock Infinite, la nalyse
Dans mes jeux attendus, j’ai failli oublier le meilleur ! MGS 5 ! 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Ouai, le scénario d’Heavy rain est loin d’être énorme, sans plus je trouve. Pas besoin d’avoir un film interactif pour avoir un bon scénar et une bonne narration, (encore heureux :D) tout ça peut aussi passé par le level design et le gameplay, ou encore la crédibilité des personnage et de l’environnement qui t’entoure.
Pour le coter photoréalisme pour l’atteindre il faudais qu’il ce concentre sur les lumière et shader, des démo avec des texture de 256×256 et des asset tout pourris sont ultra réaliste grâce à leur lumière et shader, c’est pas avec la texture d’une gueule scanné en 2K qui va faire quoi que ce soit. 😀
Mais sinon perso du point de vue artistique je trouve ça super chiant d’essayer d’atteindre quelque chose de photoréaliste, il n’y a pas de liberté, tu regarde tes photo référence et essaye de les « reproduire » le plus fidèlement possible, j’accepte plus ce genre de projet je me fait super chier et n’est pas l’impression d’y mettre ma touche artistique. Apres il y en a qui kiff.
Par exemple je trouve Trine 2 magnifique.
Apres je comprend qu’on utilise des graphisme réaliste dans des jeux du genre Arma ou autre, c’est cohérent avec le contexte et le but du jeu. Une simulation.
Bioshock Infinite, la nalyse
Dans l’un, tu réfléchis (bon ok, dans Walking Dead pas tant que ça… mais là je parle de Point & Click en général), dans l’autre tu réagis. C’est là toute la différence.
Sinon, dans le genre histoire qui prend une tournure complètement différente en fonction de tes choix, y a les Visual Novels japonais (l’équivalent numérique de nos bons vieux livres dont vous êtes le héros, sauce nippone).
Bon, la plupart du temps ce sont des histoires de lycéens qui cherchent à pécho de la meuf à gros nichons, mais dans le lot t’en as des excellents (Steins;Gate, 999, Hotel Dusk, Phoenix Wright, Professeur Layton…)… et ils sont mêmes adaptés en Europe (ou au moins aux US).
Là encore, je ne peux pas être d’accord.
Ce n’est pas la gueule du héros qui va faire que je vais ressentir des trucs dans mon corps (ou alors faut que ma nana s’inquiète :D). Ce sont les situations dans lesquelles seront plongés les personnages, leurs histoires, leurs souffrances et la manière dont elles sont racontées. Le plus bel exemple, c’est le cinéma. L’un des films qui m’a le plus bouleversé, c’est Le tombeau des lucioles, et c’est de l’animation japonaise (y a mieux question photoréalisme).
Et puis bon, être photoréaliste sur les visages et faire marcher tes persos avec un balai dans le cul (que dis-je un balais ? C’est carrément un chêne centenaire à ce niveau…), je trouve ça assez contradictoire.
J’ai un meilleur feeling quand je vois un perso comme dans le dernier Max Payne par exemple ou dans les Uncharted, qui se meut de façon plus réaliste dans le décor, en s’adaptant à la topographie du terrain.
Enfin, le problème avec le photoréalisme, c’est qu’à trop vouloir ressembler à la Vérité, tu finis par ne voir que les défauts.
Je suis certain que le scénario de Heavy Rain dans un Point & Click avec un style graphique original, serait mieux passé qu’en en faisant un film interactif photoréaliste. Car là du coup, tu ne peux t’empêcher de faire le parallèle avec le cinéma… et t’arrives au constat que des films de serial killer avec des histoires plus passionnantes, y en a une sacré pelleté.
En gros, si Heavy Rain était un film, il serait passé totalement inaperçu tant son scénario est stéréotypé.
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Je ne répondrais pas aux trolls sur Heavy Rain ni sur « C’est quand la dernière fois qu’Ubi a fait un bon jeu ? » parce que tu ne le mérite même pas 😀 Par contre ça fait quand même maintenant 8 ans que je joue à cette génération de machine puisque la 360 est sortie en prem’s à cette date, et des jeux qui me laissent un très bon souvenir franchement y en a plein ! Je crois que je ferais un article quand cette gen sera morte, un peu perso, où je parlerai de ce qui m’a marqué sans forcément rentré dans l’analyse des choses qui ont changé etc.
Et pour Remember Me je pense que tu te trompes allégrement mais l’avenir nous le dira. Ce sera pas la première fois que tout le monde se fout de ma gueule sur un truc que je surveille et qui au final me laisse un souvenir impérissable (Deadly Premonition par exemple, ça reste un de mes jeux préférés sur cette gen malgré ses graphismes PS2 et son gameplay PSOne). Remember Me je le sens bien, comme je sentais Deadly ou d’autres. J’ai confiance en mon instinct !
Et MGS 5 je dirais que je l’attends avec curiosité, mais que je me méfie vu comment j’ai pas accroché aux précédents. Potentiellement si le gameplay est enfin souple ça pourrait être le seul titre d’infiltration pure de ces dernières années (même si y aura de l’action en cinématiques de 72 heures d’affilées, au moins Heavy Rain on pouvait appuyer sur des boutons !). P’tain ce que ça me manque un vrai jeu d’infiltration 3D bordel !
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@Fylo
A propos des Point and Click, c’était plus de la provoc’ qu’autre chose, en fait. 😀 Cela dit, pour rebondir quand même sur ce que tu as dis, il y a une différence entre les QTEs qu’on se tape dans les jeux genre Asura’s Warth et ceux d’Heavy Rain. Dans HR c’est pas une simple succession de QTE en plein dans l’action. T’as quand même un peu de réflexion et ces fameux choix à faire justement. Mais bon, HR n’est pas un jeu à QTE dans la moyenne, et Walking Dead n’est apparemment pas un Point and Click standard non plus.
Concernant le photoréalisme, tu me fais dire ce que je n’ai pas dit. C’est clair que c’est pas parce que le héros à une gueule bien modélisée que tu vas forcément t’y attacher. Et à l’inverse, c’est pas parce qu’il ressemble à
K.mi* rien que tu ne vas pas t’y attacher. Ce que je voulais dire c’est que si tu prends deux fois le même jeu, avec le même scénar, même ambiance et tout, mais une fois t’as un héros avec une gueule bien faite, assez réaliste, et une fois un héros avec un gros triangle en guise de tête et un carré pour le corps, en principe tu devrais ressentir un peu plus d’émotion pour le premier. Comme je le disais, ça aide. Mais ça ne fait pas tout, je suis d’accord.Pour ce qui est d’Heavy Rain en film, je ne suis pas sûr. Prometheus n’est pas passé inaperçu lui… 😀
(*) C’est pour ne pas avoir accroché aux précédents MGS. 😀
Bioshock Infinite, la nalyse
Je continue de profiter des jeux gratos du playstation + pour enfin découvrir (près d’un an après) que Fylo a raison et que le jeu n’a aucun intérêt même pas sa première heure qui est lente, loin d’être belle et effectivement mal foutue (le coup de la cinématique de 10 secondes à la fête foraine et tout le monde qui disparait juste derrière m’a bien laissé dubitatif aussi. Enfin c’est toujours moins mauvais que DMC du coup je vais continuer pour voir ce que vaut la fin…
Bioshock Infinite, la nalyse
Fylo à toujours raison… c’est de notoriété publique. Donc achetez tous Chromehounds !!