Sorties cinéma de la semaine du 30 mai

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Cette semaine au cinéma il y a Prometheus, le reste on s’en fout, mais bon j’en parle quand même.

Prometheus

Un film de SF qui n’a pas l’air totalement ridicule ça me botte déjà à la base. Un film du réalisateur d’Alien et Blade Runner ça me botte encore plus. Alors si en plus on y ajoute une touche de « c’est la préquelle d’Alien, mais non pas officiellement, mais bon si un peu quand même en fait » et je suis conquis. Avec de tels arguments (et une énorme campagne de com’ aussi accessoirement) Prometheus était facile à « vendre », en tout cas moi je suis très curieux d’aller voir ce mélange de mythologie Alien, littérature SF et antique. Et puis y’a Noomi Rapace en petite culotte.

https://youtube.com/watch?v=WXxfjo7mTpY

Les Femmes du Bus 678

3 femmes qui ne peuvent plus supporter le machisme ambiant en Egypte commencent à se venger en s’en prenant aux agresseurs sexuels qui sévissent dans les bus. Et dire que chez nous les féministes en sont réduites à lutter pour ne plus se faire appeler mademoiselle…

7 jours à la Havane

La Havane, 7 jours, 7 films, 7 réalisateurs pour un « véritable portrait contemporain de la mythique capitale cubaine ». Le genre de phrase toute faite qui dénote un posture hype pseudo intello qui ne me donne pas du tout envie de me déplacer.

Almanya

Une comédie sur l’intégration d’une famille d’immigrés turcs en Allemagne. Ca a l’air aussi sympathique que plein de bons sentiments politiquement corrects à la « on est pas si différents et puis de toute façon la différence fait la richesse et blabla ». La bande annonce ne m’a pas trop donné envie de voir le film, mais je me ferais bien un kebab par contre.

Peace, Love et plus si affinités

Un couple en pleine remise en cause personnelle et professionnelle tombe par hasard dans une comunauté de hippies qui va chambouler leurs habitudes et leur existence. Non mais sérieux, il se passe quoi cette semaine, c’est l’overdose de bons sentiments là, on pourrait pas plutôt avoir un truc avec des vaisseaux spatiaux, des monstres et une nana en petite culotte ?

Et puis comme toujours des documentaires dont je ne parle pas parce que je ne suis qu’un sale raciste anti-documentaire au cinéma, voilà j’avoue, je vous montre enfin mon vrai visage.

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