Sortir l’Age de Glace en plein été c’était à la base sûrement un plan marketing génial pour vendre des sorbets à la pelle, pas de bol qu’on ait un début d’été de merde, remarque ça incite à aller dans les salles obscures plutôt qu’à flaner dehors.
L’Age de Glace 4 : La Dérive des Continents
Face à l’hégémonie Pixar, il faut bien avouer que l’Age de Glace est l’un, si ce n’est le seul, des dessins animés 3D à résister. En même temps j’avoue être plutot bluffé par leur capacité à toujours amener une galerie de nouveaux personnages charismatiques super fun pour les kids et les autres alors que je trouve les personnages principaux limite fade à coté. En revanche je m’inquiète quand même de l’impact sur la jeunesse de l’aspect révisioniste de l’histoire du Monde.
Un bonheur n’arrive jamais seul
Autant j’aime plutôt bien Gad Elmaleh en tant qu’humoriste autant je trouve que c’est un acteur de merde (oui je balance, rien à foutre). Dans cette comédie très ricaine (sérieux, ça sent pas le remake à plein nez ?) il campe le rôle d’un pianiste bo-bo insouciant qui tombe contre toute attente amoureux d’une bourgeoise pas tellement bohème à priori et affublée de 3 chiards qui plus est. On a un peu l’impression d’avoir vu tout le film dans la bande annonce, perso j’attendrai son passage sur TF1 pour le non-voir.
Safe
Jason Statham dans le film le plus cliché de l’année, une sorte de Transporteur avec une chinoise de 12 ans au lieu d’une chaudasse de 10 ans de plus en petite culotte, autant dire que l’intérêt du truc s’en ressent d’un coup.
La Part des Anges
Ken Loach fait partie de ces réalisateurs cultes dont je n’ai dû voir aucun film. Encore une comédie sociale anglaise avec une bande de losers à l’accent working class à couper au couteau ? Peut être, mais ça a l’air de se laisser regarder.
Starbuck
La comédie québécoise de l’année (oui cette phrase est bien à prendre au second degré) : un donneur de sperme du genre zélé doit assumer sa progéniture de plus de 500 enfants.
La Clinique de l’amour !
Un espèce de Grey’s Anatomy parodique au 56ème degré (chiffre pris au hasard), quelques vannes marrantes, mais ça n’a pas l’air de voler bien haut quand même, la preuve, la tête d’affiche c’est Bruno Salomone.
Bel Ami
Robert Pattinson dans l’adaptation du roman de Maupassant; on est tous d’accord, on ne sait pas trop ce qu’il est venu foutre là avec Uma « what did you expect ? » Thurman en plus. A réserver aux fans de cougars ou à ceux qui doivent lire le bouquin pour les rattrapages du bac.
One O One
A ce point de la chronique on attaque les films chelou qui sortent que dans deux salles. Ici une histoire de recherhe de gamine perdue sur fond de thème légèrement sf, j’ai pas trop compris, mais ça a l’air intéressant bien qu’un peu chiant surement.
Off World
Si vous voulez voir un transexuel dans une décharge au milieu d’un bidonville philippin cette semaine, c’est ce film qu’il faut aller voir.
Sibérie
Film intimiste sur le voyage d’un couple qui se film au caméscope, perso j’ai pas réussi à aller au bout de la bande annonce.