Frayeur Noire – Destination Danger
On se demandait avec appréhension à quoi pouvait bien ressembler un Escape Game complètement dans le noir. Bah maintenant on sait… au moins pour la moitié.
On se demandait avec appréhension à quoi pouvait bien ressembler un Escape Game complètement dans le noir. Bah maintenant on sait… au moins pour la moitié.
Après une super expérience chez Immersia sur la mission Evolvis, nous étions forcément curieux de découvrir le temple de Cthulhu. D’abord pour renvoyer un gros poulpe de la d’où il vient mais surtout pour confirmer qu’Immersia est bien l’une des meilleures enseignes d’Escape Game de Paris.
Avec une telle thématique d’Escape Game, il paraissait évident que nous aurions dû nous méfier de la sorcière, de sa magie noire et surtout des autres êtres maléfiques de la forêt !
Qui croirait l’histoire d’un roman inachevé dont les trois héros sont des Polygamer, personne ? Et pourtant…
Votre copain Paul Stones a disparu et vous avez enfin l’occasion de jouer avec tous ses gadgets !
Lorsque nous avons prêté serment pour entrer dans cette noble institution qu’est les Mousquetaires du Roi, nous nous attendions à déjouer les plus vils complots et combattre les pires ennemis de la couronne. Au final, on se retrouve à jouer les couvertures pour une femme volage. Tout fout le camp !
En matière d’Escape Games, on aura tout vécu : Complots géopolitiques, fins du monde, invasions zombie, crash d’avion ou de métro, voyages dans le temps, cambriolages, enquêtes policières… mais infiltrer une supérette, c’est bien la première fois !
Quoi de mieux que de retourner faire une room de 2014 pour se rappeler l’évolution des escape games depuis leur apparition.
Parmi les thèmes récurrents de l’Escape Game, il y en a un en particulier qui nous tiens à cœur, c’est celui de l’épouvante. On ne kiffe jamais autant que lorsqu’on se met à hurler comme des fillettes…
En pleine semaine Escape Game et parce qu’on n’a pas toujours le courage de sauver le monde on s’autorise parfois un petit braquage pour se détendre entre un serial killer et nos courses à la supérette.
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