Test express, Dead Island 2

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Comme indiqué par son nom, le test express est un aperçu rapide d’un jeu. Cette fois-ci c’est Dead Island 2 qui m’a occupé une bonne partie du mois

Vite joué, bien joué

Dead Island 2 a débarqué dans le catalogue du PS+ extra en Octobre. N’ayant rien à jouer en ce moment, je me lance sur ce jeu qui m’a jamais trop attiré à cause de sa ressemblance avec Dying Light. Il était temps de prouver que les préjugés ne sont jamais bons car le jeu n’a vraiment pas grand chose en commun.

Le début a été un peu compliqué. Pensant m’amuser directement à défoncer du zombie façon Dead Rising, j’ai vite compris que l’aventure serait moins fun que prévue. Chaque zombie que je croisais ou presque me faisant la peau assez rapidement. Je parle ici vraiment du tout début. Le temps de commencer à ramasser des armes autres qu’un bout de bois de fortune. Mais cela joue sur la première impression que j’ai eu du titre. il m’a fallu passer outre pour découvrir que je me trompais.

Pour la blague ce pop-up tuto est apparu jusqu’à la fin du jeu, je devais vraiment être nul en esquive

Une fois lancée, l’aventure est bien fun. On devient très vite bien plus puissant entre les cartes qu’on active qui permettent de construire les « pouvoirs » de notre personnage et les armes que l’on améliore de 1001 façons. Pour les cartes, on les déverrouille au fur et à mesure, soit en les trouvant, soit en remplissant des défis ou encore en finissant les missions. Les armes elles, évoluent en avançant et on pourra aussi les modifier sur des établis pour leurs donner tout un tas d’effets. De ce côté là on retrouve bien une vraie similitude avec Dying Light mais c’est tout.

Pour le reste, l’aventure est sympatoche mais rien d’exceptionnel. Au moins elle ne se prend pas trop au sérieux et tant mieux. le bestiaire évolue au fil du jeu et si la répétitivité finit par venir, le plaisir de s’améliorer et de découper du zombie a su rester plus fort jusqu’à la fin.

Justement, parlons rapidement de celle-ci. Je ne spoile pas, même si ça n’aurait aucune importance, mais la scène finale est tout bonnement jouissive. La musique qui se déclenche, le décors, les zombies et notre sortie hollywoodienne ! Tout y est. Franchement le genre de scène que l’on joue le sourire vissé au visage. Ça faisait un moment que j’avais pas autant pris mon pied. Ok on parle d’une scène mais ça m’a donné envie de le partager. Et c’est fait.

L’occasion de rappeler que la phobie des clowns de Fylo s’appelle la Coulrophobie

En conclusion

J’ai eu une approche un peu délicate avec le jeu qui me semblait bien plus dur que ce que j’en attendais. Finalement, sur la durée il s’avère que c’est exactement ce que je pensais, un jeu fun, un bon défouloir où l’on défonce du zombie à la pelle (littéralement ou non) et surtout, la fin d’aventure la plus jouissive que j’ai joué depuis un bon moment.

L’évolution de notre perso est basé sur un système de cartes à combiner

Test réalisé sur PS5 via mon abo PS+ extra si c’était pas assez clair pour vos cervelles atrophiées de zombies

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