1 jour 1 jeu, ReadySet heroes

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En Mars je ne travaille pas alors j’ai eu une idée débile, tous les jours je vais faire un jeu du PSN+ extra et dire si ça valait le coup ou non.

Déniché au fin fond d’une sous catégorie « aventures rapides » voyons ce que vaut ReadySet Heroes, un dungeon crawler de Robot Entertainment sorti en 2019.

On ne va pas se mentir bien longtemps, je suis complètement passé à côté du jeu. Bon, déjà, on arrive dans un menu dégueulasse où on nous propose de choisir entre 3 modes de jeux, exploration et bagarre, exploration de tour et survie. Ensuite, on doit choisir le type de salon avant de choisir son héros avec un curseur de souris qu’on déplace au stick comme dans une mauvaise adaptation PC.

ouai super un boss…

Une fois lancé on va pouvoir profiter d’un jeu fun et coloré et de son gameplay incroyable (ironie) avec 1 bouton d’attaque à bourriner sans réfléchir. En réalité les possibilités augmentent avec l’exploration. Une arme plus rare possèdera une attaque secondaire et vous obtiendrez des armes à distance et des sorts en plus, complétant la panoplie à 4 attaques et non une seule. Ça n’empêche qu’on enchaîne les salles sans plaisir ou presque et on cherche les logiques de boss sans plaisir ou presque.

La survie n’offre guère plus d’intérêt et finalement la mort que l’on essaie tant de repousser arrive comme une libération me permettant de tester le dernier mode du jeu pour pouvoir arrêter.

Presque mort mais au moins c’est presque fini

Le mode exploration et bagarre est déjà plus sympa puisqu’il s’agit d’une course entre 4 joueurs avec un mini jeu d’affrontement à la fin. Je vous dirai bien que je me suis plus marré mais apparemment la communauté du jeu n’est pas dingue et les serveurs pourraient fermer que personne ne s’en rendrait compte.

Je connais un dicton qui dit « si t’arrives pas à trouver une partie en 10min de matchmaking, supprime le jeu »

Je crois que malgré moi et ma bonne volonté j’en arrive à la conclusion. Non ce jeu ne sert à rien dans le catalogue et mériterait de laisser sa place à un vrai titre plutôt que d’être là juste pour faire gonfler le nombre de jeux disponibles dans le catalogue.

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